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| The worst things in life come free to us ft. Sarah | |
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A Brunel U. depuis : 17/07/2015 Devoirs rendus : 1246 ≈ âge : 36 | ◄ posté 21.08.15 12:05 | |
"The worst things in life come free to us - FT. SARAH"
Sarah était émue, elle aurait aimé savoir qui lui avait inspiré ce morceau. Je ne lui répondis pas, me contentant de sourire alors qu’on se dirigeait vers la cuisine. Il était difficile pour moi de lui avouer que toute cette inspiration me venait un peu d’elle, en priorité. Elle accepta le café que je lui proposais, je le lui servis donc alors qu’elle regardait par la fenêtre, pensive. Elle semble enchantée par l’idée que je lui propose. Faire un tour dehors nous fera la plus grand bien. Je suis content que ça lui plaise. Par contre avant de sortir, il allait falloir que je me réveille un peu et que je sorte de cet état de torpeur qui me rendait las depuis ce matin. Je me frottais les yeux comme un gosse en m’étirant, espérant que ça suffirait. Sarah vint s’asseoir à table pour boire son café, je m’en servis un deuxième puis je fis un allez retour à ma chambre pour aller chercher mes lunettes, j’avais un mal de crâne pas possible, j’espérais que cela me soulage un peu, alors que je les glissais sur mon nez, je m’installai à table avec elle. « Super, on peut aller faire un tour à Hampstead, au parc si tu veux ? Ou en ville si tu préfères ? A Greenwich… » Je voulais qu’elle choisisse, c’était elle surtout qui avait besoin de se changer les idées. Moi, je suivais. Je pris une gorgée de mon café. « On part dans l'aprèm ? » Dans l’immédiat je n’avais pas du tout envie de sortir, si j’avais pu, je serais allé finir ma nuit.
Sarah me dit alors qu’à part moi, personne n’a été là pour elle durant l’épreuve qu’elle était en train de traverser. J’eu un petit pincement au cœur en entendant ses mots. Je levai les yeux vers elle. Je vois qu’elle était émue et cela m’attriste encore plus. Des larmes perlent au coin de ses yeux. Sa dernière phrase reste alors en suspend et elle se retourne pour ne plus me faire face. Sans trop réfléchir je me lève puis je viens me mettre dans son champ de vision. Je suis embêté de penser qu’il n’y ai que moi dans sa vie se souciant suffisamment d’elle pour faire ce geste pour elle. J’étais sidéré « Et ta maman ?... » J’étais appuyé contre la fenêtre, face à elle. Je sortis une cigarette en ouvrant la fenêtre et l’allumait avant de prendre une bouffée et de l’expirer vers l’extérieur pour ne pas incommoder Sarah. « Pourquoi vous n’êtes pas toutes les deux en ce moment ? » J’imaginais que ça ne devait pas être simple de se retrouver seule avec sa mère avec son frère et son père manquant à l’appel, j’imaginais que sa mère devait se sentir encore plus mal que sa fille, mais dans un moment comme ça, ma première pensée aurait été de rester avec ma famille, même le peut qu’il en restait. J’imaginais que le jour où ma mère nous quitterai, j’aurais le soutien de mon père, mes sœurs et mon frère aussi. Je ne savais pas pourquoi je lui parlai soudainement de ça, j’avais besoin de comprendre pourquoi elle n’était pas avec elle en. Je voulais que Sarah me parle un peu, elle pouvait bien pleurer, ce n’était pas un problème, du moment qu’elle évacuait ce qu’elle avait sur le cœur. De ma main libre, je vins caresser doucement sa joue et essuyai les larmes qui y coulaient. Pour lui montrer que j’étais là, effectivement, même si je ne débordais pas d’énergie aujourd’hui et que je n’étais pas très démonstratif, je n’allais pas la laisser tomber. Même comme ça elle était toujours aussi élégante. Je lui adressai un sourire encourageant.
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| | A Brunel U. depuis : 14/06/2015 Devoirs rendus : 255 ≈ âge : 32 | ◄ posté 24.08.15 2:22 | |
Il vint s’asseoir près de moi à la table et je l’observe mettre ses lunettes. C’est la première fois que je le vois avec ses lunettes sur le nez et ça me fait craquer. Je le trouve tout simplement beau et j’en rougis de gêne. Je ne pensais pas avoir ce genre de sentiments avec lui. Mais je dois me l’avouer, je l’aime beaucoup. Je tais mes sentiments et je souris à ce qu’il me dit. Il me demande de choisir où j’ai envie d’aller. Je n’ai pas envie d’aller quelque part normalement fréquenter par des étudiants. J’ai envi d’aller quelque pars où on sera pratiquement tout les deux. Je pense quelques secondes et j’ai étrangement une image de pingouin dans la tête. Je lève alors les yeux vers lui.
-Pourquoi pas dans l’ouest… au zoo… Je n’ai jamais vut le zoo de Londres. Enfin… si tu as envie évidement et oui dans l’aprèm… si on n’a pas le temps pour le zoo va pour Greenwich… j’ai juste envie d’être avec toi.
Je serre discrètement mes lèvres. Je n’ai tout simplement pas put retenir ma dernière phrase. Elle m’avait filé entre les lèvres comme une chance qui nous file entre les doigts. Je rougis un peu dans mon coin et je prends une gorgé de café qui dure un peu plus longtemps qu’elle ne le devrait.
Je lui avoue alors qu’il est le seul à être venu à mon secours. Il m’a carrément ramassé à la petite cuillère. Sans lui, je n’aurais pas donné cher de ma peau. Les émotions sont trop fortes et je ne veux pas à nouveau lui imposer une vision de moi entrain de pleurer. Alors je me lève et me retourne en laissant ma tasse sur la table. Il a déjà beaucoup fais pour moi et je ne veux pas qu’il pense qu’il doit en faire plus ou quoi que se sois. Lorsqu’il me demande pour ma maman, j’éclate carrément en sanglot. Mais je n’ai d’autre choix que de le regarder puisqu’il se poste devant moi. Je n’aurais pas cru qu’il serait venu vers moi. Il ouvre la fenêtre pour fumer. Je sanglote dans mon coin et lorsqu’il me demande pourquoi je ne suis pas avec elle. Je me mets simplement à pleurer. Je prends quelques minutes pour me calmer. Je ne veux pas répondre en demi-réponse. Je veux pouvoir avoir mon calme pour lui expliquer. Ça main trouve le chemin jusqu’à ma joue pour y chasser mes larmes. Je pose doucement ma main contre la sienne pour lui signifier que j’apprécie se contacte. Je me risque alors à une explication.
-Le jour de l’enterrement, on était à la maison avec la famille, les amies de ma mère, mes anciennes coéquipières et des amis et frère d’arme de mon frère. J’étais dans un coin et le meilleur ami de mon frère essayait de me réconforter. Ma mère est venue vers moi et… J’essaie de retenir mes larmes et mon regard se perd dans le vide. … Ma mère m’a giflé. Elle m’a crié que s’était de ma faute. Que mon frère… que mon frère… Des larmes coulent à nouveau sur ma joue et cette fois-ci, je ne peux les retenir. Elle m’a dit que c’était de ma faute. Que mon frère s’était enrôlé pour que je puisse le voir comme un héro, pour me faire plaisir. Et qu’il était mort parce que je n’avais pas répondu à ces dizaines d’appels se soir là… Elle… Elle ma dit que… que j’étais une salope qui ne pensais qu’a elle, qui se servait des gens et que je n’étais plus sa fille…. Elle m’a dit de ne jamais revenir…
Je me remets alors à pleurer de plus belle. Je ne pus retenir mon geste et je vins me lover contre lui pour chercher du réconfort. J’étais maintenant seule au monde. J’avais enterré mon frère et mon père avant lui et ma mère m’avais chassé de la maison. J’étais tout simplement inconsolable. Je serre doucement son t-shirt dans ma mère.
-… je commence à croire qu’elle a raison… C’est ma faute…je suis horrible
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| | A Brunel U. depuis : 17/07/2015 Devoirs rendus : 1246 ≈ âge : 36 | ◄ posté 25.08.15 14:44 | |
"The worst things in life come free to us - FT. SARAH"
Sarah me proposa d'aller faire un tour au zoo, j'eu quelques secondes de réflexions, me disant que ça faisait des années que je n'avais pas mit les pieds dans ce zoo et que ça pouvait être sympa... J’acquiesçai d'un signe de tête, elle me dit que tout ce qui lui importait était d'être avec moi, moi tout ce qui m'importait c'était de lui changer les idées, alors ça m'allait très bien. « Allez, va pour le zoo alors » Je lui fais un sourire et prend une gorgée de café. Sa réflexion ne m'a pas dérangé, bien au contraire, je suis content de savoir qu'elle se sent bien avec moi, si je peux faire quoi que se soit pour elle en ce moment difficile, je le ferais. Mon mal de tête ne passait pas, cela commençait à m’agacer. Une petite voix dans ma tête me criait peut-être que si tu fumais moins de clopes et que tu buvais moins de café ça irait mieux... Je savais pertinemment qu'en allumant cette cigarette je ne m'étais pas fait un cadeau, mais j'en avais envie. Tant pis, si ça ne passait pas avant de partir, je prendrais un cachet.
L'ambiance changea brusquement lorsque je commençai à questionner Sarah sur sa mère. Je m'étais peut-être aventuré un peu trop loin dans les questions délicates... mais quand j'eu enfin la réponse, le pourquoi du comment, tout me sembla beaucoup plus clair. Un élan d'empathie s'empara de moins, imaginant la mère de Sarah lui reprocher quelque chose de complètement horrible et démesuré. Planté devant elle, à la fenêtre, j'avais les yeux grands ouverts. J'avais du mal à croire que tout ce qu'elle était en train de me raconter était vrai.. pourtant au fond de moi, j'avais l'impression de comprendre, bien plus que je ne pensais. J'écrase ma cigarette et alors qu'elle vient se lover contre moi, j'entoure mes bras autour d'elle pour la serrer contre moi. J'ai de nouveau le cœur serré pour elle, imaginant ce par quoi elle avait du passer ces derniers jours.
Je n'avais jamais réalisé l'ampleur que pouvait avoir le décès d'un membre sur toute une famille. J'étais consterné, je ne savais pas quoi dire. Je me contente de la serrer un peu plus fort alors qu'elle me dit que sa mère avait sans doute raison, que tout était de sa faute, qu'elle était horrible. J'émis un claquement de langue pour montrer ma désapprobation. « Sois pas stupide.. » C'était sorti tout seul, je n'aimais pas les gens qui se dévalorisaient ainsi, ce n'était pas la solution. Je poursuivis calmement, mes bras entourant toujours la jeune femme sanglotante « Ta maman a eu une réaction plutôt normale, même si elle a été épouvantable avec toi... Elle avait besoin de trouver quelqu'un sur qui remettre la faute je suppose, quelque chose de concret sur le quel elle pouvait se défouler, déverser toute sa peine et sa colère... malheureusement ça a été toi... Rien ne pardonne son geste, mais je pense qu'elle le regrettera bien assez tôt. D'ici là, il faut que tu penses à toi, rien qu'à toi... » C'était sûrement plus facile à dire qu'à faire, mais il ne fallait pas qu'elle ai ça en plus sur le cœur, la disparition de son frère était bien suffisante à gérer pour qu'elle soit aussi obligée de gérer avec les crises de sa mère en pleine souffrance, qui semblait ne plus vraiment se rendre compte de ce qui se passait.
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| | A Brunel U. depuis : 14/06/2015 Devoirs rendus : 255 ≈ âge : 32 | ◄ posté 30.08.15 21:30 | |
Je m’élance doucement contre lui et je viens me lover dans ces bras. C’est dernier temps, il n’y a que dans ses bras, contre son corps, que je me sens apaiser, en paix et bien. Les larmes coulent, encore, sur mes joues sans que je ne puisse les retenir. Il serre ses bras autour de moi et j’appuie ma joue contre son sternum en essuyant les larmes qui me coulent sur le menton. À se moment, lorsque tout était sortit de moi, je n’arrivais plus à trouver de mieux à dire. Je repense à la scène où ma mère m’a giflé. Elle ne m’avait jamais frappé avant. Ce n’était pas la femme que j’avais connue petite qui me caressait les cheveux et qui essuyais mes larmes lorsque mes pieds et mes jambes me faisaient mal. Elle n’était plus la femme rieuse que j’avais connue. Mais une femme complètement détruite par la peine et la douleur comme je l’étais à ce moment là moi aussi. Il me serre un peu plus contre lui et j’entends le fameux claquement de langues qu’il faisait toujours lorsqu’il n’était pas d’accord ou que ce qui avait été dit ne lui plaisait pas. Je lève doucement les yeux lorsqu’il me dit de ne pas être stupide. J’acquiesce simplement de la tête et je repose ma tête la où elle était quelques secondes au part avant. Je continue de sangloter en écoutant ce qu’il me dit. Je hoche doucement de la tête. Il avait surement raison. Je devais d’abord prendre soin de moi et essayer de me remettre de la perte de mon frère. Je ferme doucement les yeux et je commence à m’apercevoir que je suis encore très fatigué. Je laisser doucement descendre ma main qui était sur son torse jusqu'à ce qu’elle entre en contact avec la sienne. J’entre mêle doucement mes doigts au sien et je serre sa main dans la mienne. J’ose alors dire, entre deux sanglots de plus en plus éloigné. -Je crois… qu’on est encore tout les deux fatiguer… une sieste avant de sortir… ca te dit…Je n’attends pas sa réponse. À l’air qu’il a, je sais qu’il est lui aussi fatiguer. Je garde sa main dans la mienne et je le tire doucement jusqu’à la chambre. Je travers l’appartement main dans la main avec lui et j’entre dans la chambre suivit de Keelan. Je m’approche du coter du lit où j’ai dormit et je ne fais que retirer ma robe en la passant par-dessus ma tête. Je suis encore en short et en haut noir. Je m’allonge sur le lit près de lui et je rabats la couverture par-dessous nous. Je me retourne pour lui faire face et le regarder dans les yeux. J’ai arrêté de pleurer même si mes yeux sont rougis et légèrement bouffis par les larmes. Je viens à nouveau coller mon front au sien. J’ai une furieuse envie de l’embrasser. J’ai une furieuse envie de vivre qui me prend tout d’un coup. Je viens doucement coller mon corps au sien. Je n,arrive qu'à prononcer une seul chose... -Keelan....
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| | A Brunel U. depuis : 17/07/2015 Devoirs rendus : 1246 ≈ âge : 36 | ◄ posté 18.09.15 21:37 | |
"The worst things in life come free to us - FT. SARAH"
Nous restons un moment immobile. Le seul son qui vient briser le silence sont les sanglots de Sarah. Je n'en rajoute pas, je la laisse pleurer, tant qu'elle en a besoin, en la serrant contre moi. Les minutes s'écoulent alors que je sens sa main descendre le long de mon torse et venir saisir la mais. Cela me laisse une agréable sensation. Sarah me propose alors une activité réjouissante à l'heure actuelle, retourner se coucher. L'idée est appréciable vu notre état de fatigue à tous les deux. Elle a bien raison, finir la nuit ne nous fera pas de mal. Tracassé ce matin, je m'étais réveillé beaucoup trop tôt. Je la suivis donc dans la chambre sans demander mon reste, sans un mot. Je me rendis alors compte que notre quotidien avec Sarah était souvent composé de silence, qui n'était pas forcément mal venu ni inconfortable. Au contraire, parfois la simplicité de la chose faisait que nous n'avions rien à nous dire. Je ne me fis pas prié arrivé devant le lit et je me laissais tomber dans celui si alors que la jeune femme rabattait la couette sur nous.
Sarah se retourne alors face à moi et me regarde un moment, je soutiens son regard et elle vient alors se lover contre moi et coller son front contre le mien. Je l'étreint à nouveau alors qu'elle prononce simplement mon nom. Le son de sa voix à cet instant me fait frissonner, sans pouvoir expliquer pourquoi. Je passe alors une main dans ses cheveux avec délicatesse et redresse légèrement son visage afin de déposer avec douceur mes lèvres sur les siennes et je l'embrasse furtivement. Je souris légèrement. Puis sans trop réfléchir je viens l'embrasser brièvement à nouveau « Sarah... » Je lis une lueur dans ses yeux que je n'avais pas retrouvé depuis cette dernière soirée chez moi, sur le canapé. Je ressens quelques fourmillement dans le bas ventre et un frisson me parcours la colonne vertebrale alors que quelques images de cette soirée me reviennent en tête. Je lui adresse un regard amusé; « Je croyais qu'il fallait faire la sieste... » un nouveau sourire étire mes lèvres alors que je viens l'embrasser avec un peu plus d'ardeur cette fois si, une main sur sa nuque, l'autre vient s'enrouler autour de sa taille pour la serrer un peu plus contre moi.
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| | A Brunel U. depuis : 14/06/2015 Devoirs rendus : 255 ≈ âge : 32 | ◄ posté 28.09.15 4:54 | |
Je venais de le trainer dans sa chambre à coucher. J’étais soudainement fatiguer. Enfin, j’étais fatiguer oui, mais j’avais surtout besoin d’être avec lui, coller à lui. Je le laisse se coucher de son coter et je fais de même du mien. Je nous recouvre doucement avec la couverture et je me retourne pour lui faire face, collant mon front au sien. J’aimais nos silences autant que nos conversations. Dans les moments de silence, je pouvais pleinement profiter d’être avec lui. Je ne me sentais pas le besoin d’avoir des conversations vides juste pour meublé le silence. Parfois, les gestes sont beaucoup plus forts que les mots. Et s’étais souvent notre cas. Bref, je me colle doucement à lui en laissant mes mains simplement appuyer sur son torse. Je ferme doucement les yeux puis les ouvre pour ancré mon regard au sien. Sa présence me fait du bien et j’arrive à ne plus pensé à se qui se passe de mauvais dans ma vie. Mon esprit est focuser sur le moment présent et sur l’homme contre lequel je suis lové. Je prononce simplement son nom. Je l’ai laissé sortir de mes lèvres sans aucune envie de le retenir. Je sens ses bras autour de moi et j’accroche un peu plus mon regard au sien.
Je sens son frisson ce qui me remplis de plaisir. Je n’aurais jamais pensé pouvoir faire cet effet à quelqu’un un jour. Mon visage est alors relever doucement vers le haut et je sens ces lèvres sur les miennes ce qui me décroche, à mon tour, un long frisson de plaisir. J’ai à peine le temps de répondre à son baiser qu’il me sourit. Il m’embrasse à nouveau et cette fois-ci, je réponds à son baiser avec toute l’affection que j’éprouve secrètement pour lui. Lorsqu’il prononce mon prénom à son tour, mon corps est en émoi et une étincelle brille dans mes yeux. À se moment précis, j’ai envie de lui. Tout mon corps et mon âme le réclame. Je le regarde avec cette envie dans le regard. Je ris doucement à mon tour avec un léger haussement d’épaule.
-La sieste peut attendre encore un peu… on a toute la journée devant nous!!!
Le nouveau baiser qu’il me donne est remplit d’ardeur. Je le lui rends avec autant sinon plus d’ardeur et un peu plus langoureusement. Sa main sur ma nuque me fais frissonner de plaisir et je me sens rapprocher de lui un peu plus. Je sais ce qui va suivre et je sais que pour moi c’est loin d’être chose connue. Je ferme alors doucement les yeux et j’ose enfin avouer mon secret.
-Je… j’ai envie de toi… comme jamais, je n’ai eu envie de personne au par avant… mais uhm…te fou pas de moi s’il te plait mais… je… j’ai jamais fais… ça… avant…
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| | A Brunel U. depuis : 17/07/2015 Devoirs rendus : 1246 ≈ âge : 36 | ◄ posté 28.09.15 14:08 | |
"The worst things in life come free to us - FT. SARAH"
Sarah me dit que la sieste peu attendre, qu'on a toute la journée devant nous. J’émets un rire étouffé alors que j'embrasse la jeune femme avec envie, je sens son corps brûlant contre le mien et je laisse mes doigts courir sur tout son corps avec délicatesse et j'enfouis ma tête dans son cou, embrassant chaque parcelle de peau. J'entoure mes bras autour d'elle et pousse un soupir mêlé à un grognement qui traduit toute mon envie. Je reviens saisir ses lèvres à nouveau quand Sarah ajoute quelque chose. Je me fige à ses paroles et marque un temps d'arrêt. Je la regarde un long moment sans rien dire, incapable de trouver les mots adéquats dans cette situation, je suis surpris à un point que je ne peux exprimer, cela peu sans doute se lire sur mon visage. Je m'attendais à tout sauf ça. Décontenancé je repousse Sarah avec douceur, mes yeux toujours rivés dans les siens, je retourne la situation et la laisse s'allonger pour venir m'allonger au dessus d'elle en prenant appuie sur un bras, ma main libre vient se poser contre son visage. Cette révélation expliquait bien des choses... Je suis entrain de me dire que ce n'est peut-être pas à moi de faire cela. Je l'observe encore un bon moment en silence puis je viens poser un nouveau baiser sur ses lèvres, j'ai toujours aussi envie d'elle, mais je reconsidère la chose un instant...
Elle ne laisse aucun doute, elle a envie aussi, puis c'est plus fort que moi, je ne peux m'empêcher de la toucher, de laisser ma main caresser son cou avec délicatesse, et glisser sur sa poitrine. Je lui adresse alors un sourire, une lueur amusée brille dans mes yeux « Il faut bien un début à tout... » J'aurais peut-être du essayer de la rassurer, mais à quoi bon de toute façon, je ne voulais pas jouer le gentleman, doux, tendre et attentionné au point de lui donner de faux espoirs. Je ne savais plus ou j'en étais dans ma vie, j'étais professeur, elle était étudiante, rien n'était clair dans cette situation mis à part une chose, j'étais bien avec elle, j'avais envie d'elle, c'était réciproque. Si on s'arrêtait pour réfléchir, il valait mieux qu'on s'arrête tout cours. Je n'ajoute rien, je n'ai pas envie de la mettre mal à l'aise, alors je reviens l'embrasser avec passion, à chaque fois que je sens ses doigts contre ma peau, tout mon corps semble secoué de tremblements tant j'ai envie d'elle. Je lui dis alors doucement à l'oreille « Au moins si tu veux partir sans explication cette fois si je comprendrais pourquoi... » un nouveau sourire s'étire sur mes lèvres, alors que je mordille le lobe de son oreille avec envie. Je presse tout mon corps contre le sien en recherche d'un contact de plus en plus étroit. Je prend mon temps, je nous laisse languir encore un instant, j'essai d'aller à son rythme.
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| | A Brunel U. depuis : 14/06/2015 Devoirs rendus : 255 ≈ âge : 32 | ◄ posté 28.10.15 1:24 | |
Il est maintenant au dessus de moi, appuyer sur l’un de ses bras avec l’autre qui me caresse la joue. Je le regarde avec des yeux entre-ouvert. Je peux comprendre et presque entendre au fond de moi-même tout ce qu’il peut se dire, tourner et retourner dans son esprit. Pour moi, le message est clair comme de l’eau de roche. Je veux que se sois lui un point ces touts. Je veux que l’espace qui nous sépare et nous éloigne se rompe pour que nos deux corps ne fasse plus qu’un. Je veux que son corps sois encore plus appuyer sur le lien et que nos odeurs ce mêlent l’une à l’autre. Je lui fais comprendre se que je veux en pressant un peu plus mes main dans son dos et en ouvrant un peu plus les yeux. Je veux lui démontrer que je le désir plus que tout autre chose au même moment. Je réponds ardemment à son baiser en passant ma main dans ses cheveux. J’y laisse vagabonder mes doigts quelques secondes et je la laisse doucement redescendre sur son épaule.
Je lui fais un sourire à sa réponse. Elle me satisfait pleinement. J’ouvre doucement et complètement les yeux pour plonger mon regard dans le sien et s’y accroche. Oui, il faut un début à tout et je veux que ce début se fasse avec lui. Je hoche alors doucement la tête en me mordillant la lèvre inférieure. J’ai complètement fait abstraction du fais qu’il est professeur et qu’il est en ‘’position d’autorité’’ vis-à-vis de moi. Je ne veux vivre que le moment présent avec lui. Je lui fais alors un petit clin d’œil.
-Oui, un début à tout… avec quelqu’un d’expérimenté… c’est toujours…
Il revient alors vers moi pour un baiser des plus passionner et j’y réponds avec autant de passion. Je passe mes bras atour de son cou et je colle mon corps au sien pour être le plus près de lui que je peux. Je passe une main dans ses cheveux et je descends doucement mon autre main le long de son dos. Mes gestes sont tout de même fluides comme si je savais ce que je faisais malgré mon inexpérience. Je me laisse simplement guider par mon instinct, par mes envies, par mon corps contre le sien et par les sons qu’il produit. Je l’embrasse ardemment et ensuite, il vient murmurer à mon oreille. Le son de sa voix me fait frissonner de tout mon corps et encore plus lorsqu’il me mordille le lobe. Je vais doucement à son oreille à mon tour et j’y murmure…
-Non, pas question de partir comme ça…Tu devras me jeter dehors pour ça.
Je dépose au baiser au creux de son oreille entre le tragus et la ligne de la mâchoire. Après ça, je lève doucement les yeux vers lui et lui fait un petit clin d’œil complice. Je me colle un peu plus à lui en essayant de minimiser le plus possible l’espace entre nous. Toujours un peu plus près, toujours un peu plus offerte à lui. Je viens déposer un baiser au creux de son cou pour faire taire le petit reste de peur qui se cache au creux de mon estomac. Peur qu’il réalise que je ne suis qu’une étudiante et qu’il est professeur, peur de la douleur de l’abandon, peur de la douleur physique et peur de trop m’attacher à lui et de souffrir par la suite. Pour finalement les faire taire, j’accroche mon regard au sien doucement.
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| | A Brunel U. depuis : 17/07/2015 Devoirs rendus : 1246 ≈ âge : 36 | ◄ posté 05.11.15 18:30 | |
HJ : Attention +18 "The worst things in life come free to us - FT. SARAH"
Suite aux paroles de la jeune femme j'ai du mal à contenir mon envie, j'essai de respecter Sarah aller à son rythme, mais c'est beaucoup plus facile à dire qu'à faire. Alors qu'elle vient m'embrasser avec envie je m'agrippe à sa taille pour la serrer encore plus contre moi. Puis avec douceur et délicatesse, je laisse glisser une main sous son t-shirt pour aller caresser son ventre, ses hanches et la naissance de sa poitrine. Je la sens frémir à ce contact et petit à petit je commence à être étourdie par l'envie et comme à laisser de côté toute logique et toute raison. Alors je me redresse vivement en l'accompagnant dans le mouvement, elle se retrouve assise face à moi et avec délicatesse je viens retirer son débardeur. Je marque une pause et passe un instant à analyser ce que je vois, cette peux parfaite, qui frémit d'envie à chacun de mes contacts, et sa poitrine qui se soulève au rythme de ses respiration profonde, qui traduit une envie qui m’excite particulièrement. Alors ni une ni deux, je retire mon t-shirt. Elle n'a plus qu'un short et ses sous-vêtements pour la couvrir, et moi un simple boxer qui traduit mon excitation tant je m'y sens à l'étroit. je la saisi alors par les hanches et l'invite avec envie à venir tout contre moi, sur moi. Je sens ses jambes qui passent de chaque côté de mes hanches de manière à ce qu'elle soit assise sur moi. Je la regarde un instant avec malice avant de venir l'embrasser. Puis je laisse courir mes lèvres sur son épaule, dans son cou et à la naissance de sa poitrine. Puis j'ose doucement laisser passer une de mes mains sous son soutien gorge pour caresser ses seins qui me font tant envie.
Je me penche alors en même temps pour lui murmurer à l'oreille. « Si tu veux tout arrêter, c'est le moment, je garantis pas en être capable après... » et pour souligner cela je me met à onduler doucement le bassin sous elle, qu'elle se rende compte de mon envie ardente et immédiate. Je mime avec douceur des mouvements de va et vient, alors que nous ne sommes pas encore nus, et cela m'excite encore plus. Je reviens l'embrasser avec ardeur. Assis en tailleur avec Sarah assise sur moi, nos corps sont plus prêts que jamais je laisse courir mes mains et mes lèvres partout ou je peux et avec une main autour de sa taille je la serre contre moi avec de moins en moins de retenue. Je plonge alors son regard dans le sien, comme pour y trouver l'occasion de continuer. L'excitation est à son comble, ma respiration et profonde et saccadée; j'avais l'impression de la découvrir pour la première fois, et la seule chose que j’espérai maintenant, c'était qu'elle ne fasse pas marche arrière.
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| | A Brunel U. depuis : 14/06/2015 Devoirs rendus : 255 ≈ âge : 32 | ◄ posté 06.11.15 1:53 | |
Je me retrouve bien vite assis à califourchon sur lui. Je lui décroche l’un de mes sourires qui ce veux à la fois le plus beau, le plus sensuel et le plus complice qui soit. Je passe doucement mes bras autour de son cou et je caresse sa nuque à la lisière de ses cheveux. Je suis à moitié nu devant lui et il se retrouve tout aussi rapidement à moitié nu devant moi. Je baisse mon regard le temps de pouvoir scruter ce corps qui me fait tellement envie depuis que je le connais. Je peux observer tatouage, ligne de corps et chaque parcelle de son être sans avoir peur des regards. Je me sens alors tirer vers lui et je me colle encore plus contre cet homme qui je veux connaitre mieux que quiconque. Je frisonne d’envie et je prends de profonde respiration pour ne pas perdre la tête. Il m’embrasse et je réponds à son baiser avec ardeur et empressement. Je veux cet homme plus que tout. Mais je prends quelques secondes pour savourer la douceur de ces lèvres qui parcourent ma peau. Des frissons me traversent tout le corps et me laisse de la chair de poule qui parcours ma peau. Je passe doucement mes doigts dans ses cheveux et les agrippe sans tirer, simplement pour que je puisse garder contacte avec la réalité et profiter pleinement du moment présent. Je pousse un soupire de délice à ses baisers et je le laisse faire aussi longtemps qu’il le souhaite. Alors qu’il pose ses mains sous mes seins, je pousse un léger gémissement qui m’arrache un autre frisson de plaisir. Les sensations que je vie son nouvelle et tout à fait excitante. Car je sens l’excitation monter en moi et j’ai envie de beaucoup plus là, maintenant, tout de suite. Je lâche cette tignasse rousse que j’ai déjà appris à aimer et je passe mes bras derrière mon dos pour retirer le bout de tissus qui m’emprisonne. Ainsi, il peut avoir libre accès à mon corps, enfin, cette partie de mon corps.
Il vient murmurer à mon oreille et ce qui me dit me fait sourire. Je le regarde coquinement dans les yeux et vient à mon tour lui murmurer à l’oreille.
- Je suis déjà à un point de non-retour. Il n’est pas question que tu arrête.
Je l’embrasse au creux de l’oreille et je passe mes mains sur ces épaules et les laisse courir sur son torse et ventre. Je sens alors ses hanches onduler sous moi ce qui avive le feu à l’intérieur de moi au creux de mon ventre. Je sens ses gestes doux et patients à mon égard et j’en suis d’autant plus excité. Je sens ses lèvres sur mon corps et je dépose les miennes sur le sien. Je le regarde doucement dans les yeux comme pour lui faire signe que je suis prête à continuer. Je veux découvrir ce corps et je veux qu’il puisse découvrir le mien. Je veux qu’il fasse de moi la sienne. Je m'approche doucement et je murmure à son oreille trois mots les plus simple mais les plus explicite du monde.
-Je suis prête...
J'accroche mes lèvres aux siennes pour un baiser des plus ardent et en quelque coup de hanche de retire le short (sans sous-vêtement) qui emprisonnais le reste de mon corps.
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