J’avais réussie à retirer mon short de danse pour me retrouver complètement nu contre lui. J’en étais un tout petit peu gêné puisque je ne m’étais jamais retrouver nu devant personne d’autre que moi-même. Oui, c’est sûr que parfois les costumes que nous faisait porter les enseignants ne nous recouvraient pas complètement mais nous n’étions jamais nues. Enfin, de son coter, il m’manœuvre à son tour pour retirer le dernier morceau de tissus qui séparais ma peau de la sienne. Ma peau brulait contre la sienne et je me serais contre lui dans une étreinte des plus charnels. Je me sentais bien malgré qu’un peu anxieuse de ce qui allais se passer. Je réponds avec fougue à son baiser et je frisonne de plus belle lorsqu’il vient embrasser le creux de mon coup. J’en ressens les sensations jusque dans le creux de mon ventre. Je me laisse guider par ces mouvements et je m’allonge tranquillement sur son lit. Je m’allonge sur le dos et j’accroche mon regard au sien. Je sens la douce pression de son corps contre le mien et j’en suis dans tous mes états. J’écarte doucement les cuisses pour qu’il puisse bouger à son aise. Oui, je n’ai rien fait de toute ma vie mais je ne suis pas ignorante pour autant. Je l’embrasse alors et garde mon regard ancré dans le sien. Alors qu’il s’introduit en moi, mon corps se cambre et je pousse un léger gémissement de douleur. Il me laisse un peu le temps de m’habiter à son corps contre le mieux et à la légèrement douleur que je sens au creux du ventre. Il a gardé sa main dans mes cheveux ce qui me raccroche un peu à l’univers qui m’entoure et je dépose mes deux mains sur ses hanche. Je ne sais pas trop où les placer et pour moi, c’est l’endroit le plus naturel du monde. Je vois alors son regard qui interroge le mien et je hoche doucement de la tête pour lui signifier qu’il peut continuer. Il commence alors de léger mouvement de va et viens et je me serre un peu plus contre lui. Je me rends alors compte de ce que j’ai raté la dernière fois et je suis complétement aux anges. Je sens sa tête au creux de mon cou et je viens à mon tour agripper ses cheveux. Je serre un peu plus mes jambes autour de lui pour savourer tous les gestes qu’il pose à mon égard. Oui, je ressens un peu de douleur mais j’apprécie de plus en plus cette nouvelle sensation qui me fait complètement chavirer. J’approche doucement mes lèvres de son oreille pour l’embrasser et je murmure de façon la plus sensuelle possible

-…Keelan…

Ce n’était pas du tout pour interrompre nos ébats au contraire. Je voulais tout simplement qu’il comprenne a quelle point j’adorais et que j’en prenais du plaisir.

Alors qu’il m’embrasse de plus belle, je ne pense à rien d’autre que nos deux corps l’un contre l’autre, aux sensations que je ressens et au moment présent que nous vivons ensemble. J’ai presque oublié ce qui s’est passé avec mon frère. J’en aie encore conscience, mais mon esprit est focusé sur ce que je vis en ce moment avec lui. Je prolonge le baiser avec passion et désir pour me raccrocher encore plus à la réalité.

Je gémis et me cambre sous le changement de rythme de Keelan. Je sais qu’il a accélérer et les sensations en son décupler. Je n’ai pu retenir un gémissement assez sonore sans m’en rendre compte. Je sers alors un peu plus mes jambes autours de lui en poussant de petit soupire les yeux fermer. Je sens alors sa main dans mes cheveux et son souffle dans mon cou. Je passe alors mes propres mains dans ses cheveux et je vais donner de discrets baiser dans le creux et le lobe de son oreille. J’aime savoir, par ses simples gémissements, qu’il aime ce qui se passe entre nous. Je dois me mordre la lèvre pour éviter de trop parler et de briser ce beau moment. Je sens alors se long frissons et de petite crampe dans le creux de mon ventre. Je passe alors mes bras autour de ses épaules et je me cramponne en gémissant. La sensation est vraiment grisante et je ferme les yeux pour la savouré à son plein potentiel. Je le sens alors qui jouit en moi et mon corps est secoué de spasme. J’ouvre doucement les yeux pour décrire que les sien me regarde avec ardeur. Cela me fais rougir de plus belle tout en haletant sous lui. Il scrute mon regard et je m’accroche au sien comme à une bouer. Je le regard avec toute l’amour que je peux ressentir pour lui. Oui, je sais que cela ne fais que quelque semaines que nous nous connaissons mais j’éprouve des sentiments très très fort à son égard et j’espère qu’il ressent, au moins, un petit quelque chose lui aussi. Je me sers alors contre lui en passant mes bras autour de son torse et en appuyant ma tête contre lui.

Je le laisse se coucher sur le coter près de moi et je viens poser ma tête sur son torse alors que nous reprenons nos respirations. Je lève doucement la tête pour le regarder en pensant à la chanson qu’il m’avait écrire. Je n’osais même pas lui demander si s’était de moi qu’il parlait dans la chanson. J’ose simplement lui dire…

-Je suis vraiment bien… là, avec toi, en ce moment…et je ne voudrais pour rien au monde que ça s’arrête…

Je pose alors de léger baiser papillon sur son torse en fermant les yeux. Après mes paroles, je n’osais le regarder de peur qu’il ne me dévisage.

Je sens ses doigts qui jouent machinalement avec l’une de mes mèches de cheveux. Ce petit mouvement doux me fait fermer les yeux et somnoler à moitié. Je le sens alors un peu distant face à mes paroles malgré le fais qu’il me sert contre lui. Je me laisse alors allée. Je suis très consciente que nous avons, tous les deux, beaucoup à perdre si ce que nous avons fait vient à se savoir. Et je suis aussi très consciente qu’il a beaucoup plus que moi à perdre. C’est ça carrière qui est en jeu alors que pour moi ce ne sont que mes études. Je ferme doucement les yeux toujours contre lui. Je n’ose rien dire de plus. De peur que tout s’arrête et qu’il me demande de partir, ce que je ne veux pas.

Ce qui s’était passé entre nous comptait beaucoup pour moi. Et j’espérais que s’était le cas pour lui. Au moins où j’en étais, mes études comptaient plus ou moins car je les avais toujours fais pour que mon frère sois fier de moi. J’avais envie d’abandonner et se serais beaucoup plus facile et moins stressant pour Keelan. Et puis, je m’inquiétais beaucoup plus pour lui que pour moi-même. Bref, pour l’instant, coller à lui aux peaux à peaux, je profitais simplement du temps qui s’égrainais tranquillement. Je serais resté avec lui ici toute la journée. Je lève doucement les yeux vers lui au moment où ces lèvres trouvent les miennes et je lui rends son baiser en déposant ma main sur sa joue. Alors qu’il rompt le baiser et qu’il me demande comment s’était, je l’embrasse à nouveau à mon tour.

-Tu sais que je ne suis pas une experte et que je n’ai pas de comparaison pour toi… Mais s’était, selon moi, plus que bien… s’était… enfin, j’espère que je n’ai pas été trop nul pour toi!!

Je le regarde en souriant de manière un peu aguicheuse et innocente à la fois. Je me cache doucement les yeux en riant. Je n’ose même pas le regarder lorsqu’il me répond à ma demande. J’ai, un peu, envie de faire la gamine et de pensé à autre chose que mon frère qui à disparue, au fait que Keelan pourrais perdre son emploi et que le monde est en train de virer complètement fou. J’ai juste envie qu’il me prenne dans ses bras, qu’il me serre contre lui et qu’il me dise si j’étais la fille dont il parlait dans sa chanson… J’ai envie de beaucoup plus que ce au quel je crois mériter. Car à mes yeux, je ne méritais pas tout ce qui m’arrivais en ce moment.

Je l’entends me dire, en riant, que je n’ai pas été nul. Mon orgueil féminin est flatté et je lui décroche alors l’un de mes sourires les plus conquis, charmeur et heureux. Car oui, je l’avoue, je suis bien heureuse d’être là avec lui et d’avoir eu un aussi merveilleux moment avec lui. Donc, s’avoir que je n’avais pas été nulle, me rendais plutôt contente de moi-même malgré mon inexpérience. Je n’ose même pas rien dire car je ne crois pas que rien ne puisse être dis à cela outre que je murmure un léger ;

-Merci…

J’essaie alors de me cacher le visage de mes mains. Mais il me les retire et je le vois qui fronce les sourcils. Je pense alors avoir eu l’air beaucoup trop gamine pour lui. Mais, je vois alors le sourire sur ses lèvres et il me fait fondre instantanément. Je fonds de désir et de fort sentiment pour lui. Je lui souris à mon tour et pose un tout petit baiser sur le coin de ses lèvres dont je suis déjà accro. Il me dit de ne pas être mal à l’aise qu’il ne m’a pas trouvée stressé du tout. J’hausse alors légèrement les épaules alors qu’il me tient toujours doucement le poignet. Oui, à un moment, j’avais arrêté d’être stresser parce que je m’étais simplement laisser aller à ses mouvement, au sensation que je ressentais et au plaisir que j’avais d’être alors.

-Alors… c’est que j’ai quand même bien réussi à le cacher… mais j’avoue que tu as su me mettre… à l’aise rapidement!!!

Il me regarde avec un petit sourire qui me faire sourire à mon tour. Il me rappelle alors la raison pour laquelle nous étions venus dans la chambre. Je pouffe alors d’un petit rire cristallin et je me serre un peu plus contre lui. Je vois bien qu’il est encore aussi fatiguer et je pose à nouveau ma tête contre lui. Je dépose un petit baiser sur son torse et je remonte à ses lèvres pour lui déposer un baiser un peu plus langoureux.

-Oui, on était censé… Et si t’en as encore envie on peut en faire une maintenant… tu m’as encore l’air fatiguer. T’est cerné pauvre chou!!

Je caresse alors son visage en souriant et je repose ma main sur son torse et je ferme les yeux quelques secondes pour apprécier le temps que nous passons ensemble lui et moi.