Jolie petite histoire
And if we should die tonight
Then we should all die together
Raise a glass of wine for the last time J’étais assit sur un lit d’hôpital froid, inconfortable et inhospitalier lorsque j’ai entendu les pas dans le couloir. Ca faisait déjà plusieurs heures que j’étais là. J’ai même fini par arrêter de gueuler le nom d’Alex tellement j’avais mal. J’avais mal au corps, à l’âme et à la vie. J’étais resté assit la dans cette salle blanche, sale et froide. Devant une table de lit, des machines et trois autres lits vide. Il ne fallait pas oublier la fenêtre qui donnait sur le couloir et sa porte vitré derrière laquelle le cochon qui nous avait choppé m’observait. C’est tête baisser et les yeux à moitié fermer, à moitié endormit que j’ai entendu les pas qui venais dans le couloir. D’abord j’ai entendu les pas de la femme. Elle portait des talons hauts qui sonnait sur le carrelage des qu’elle faisait un pas. Elle marchait rapidement en discutant tout aussi rapidement et à vois presque basse. Je ne pourrais pas dire ce dont elle parlait. J’ai ensuite entendu les trois autres pas qui étaient près d’elle. Un des bruit de pas était un homme en chaussure de course et les deux autre en botte ou en chaussure dite ‘’propre’’, probablement d’autre cochon comme celui à la porte. J’ai toujours la tête baissé et les yeux semi-clos lorsque la porte coulisse pour laisser entre les quatre personnes du couloir et le cochon de devant la porte. Je ne comprends pas leur conversation, il parle trop vite, avec des mots trop compliqué ou trop incompréhensible pour que je saisisse quoi que se soit. Tout ce que je comprends c’est que la femme est assistante social et que l’un des hommes est psychiatre ou médecin. Ma tête est trop lourde et mes yeux aussi, je finis par m’effondrer sur le coter, endormit et assommer par le carrelage qui est venu à ma rencontre.
Je me réveille quelque chose plus tard, enfin, selon ce qu’on m’en a dit par la suite. Je suis encore dans cette chambre pourri, mais le cochon n’est plus à la porte. À sa place, il y a une femme. Elle ma l’air douce et elle me sourit lorsqu’elle voit que j’ai les yeux ouvert. Elle entre dans la chambre et elle me dit qu’elle s’appelle Caroline Heishels et qu’elle est assistante sociale. Mon assistante sociale. Je lui demande tout de suite ou est mon frère. Elle ne me répond pas. Je finis par crier que je veux voir Alex, que je veux qu’il m’emmène loin d’ici, que je veux être avec lui. Elle m’explique qu’il est en soin intensif quelques étages plus bas et que si je me calme et que je lui explique ce qui c’est passer c’est dernière année, elle m’emmènera le voir. Mais je me braque, je ne la connais pas alors je ne vais certainement pas lui déballer toute mon histoire. Je me tais et ne dit plus rien. Elle prend place sur une chaise et attend. Au bout de plusieurs heures, je me mets à parler sans plus pouvoir m’arrêter. Elle est la seule qui connais mon histoire jusqu’au bout et en voici une parcelle. Je lui dis alors :
Je m’appelle Maksim et j’ai 13 ans. Mon frère s’appelle Alexander et il a 25 ans. On vit dans la rue, enfin, la plus part du temps. Alex m’a emmener lorsque j’avais 10 ans et je lui dois ma vie. Il m’a apprit tout ce que je sais, il m’a protégé et m’a nourrit. Je préfère la rue aux coups et aux blessures. Et maintenant j’aimerais le voir.
Elle m’a aidé à me lever et à m’habiller. Elle m’a emmené au soin intensif ou mon frère voguait entre la vie et la mort. Personne autre que lui et moi, ne sait ce qui c’est passer cette journée la pour qu’il se retrouve comme ça. Mais maintenant, il est tellement déconnecté que je suis le seul à le savoir. Je suis resté des heures, des jours et des semaines assit près de lui à lui tenir la main. Lorsqu’il s’est finalement réveiller, il n’était plus que l’ombre de lui-même. C’est à peine s’il me reconnaissait. L’assistante social à finit par me placer en foyer d’accueil avec des intervenant et plusieurs autre jeunes de mon âge. Mais j’étais un garçon fragile et briser. Je restais souvent dans mon coin et j’essayais de me concentrer sur mes études.
Un jour, un couple d’anglais qui n’arrivaient pas à avoir d’enfant est venu nous voir au centre d’accueil. Je ne sais pas pourquoi, mais c’est moi qu’ils ont adopté. Ça a été le début de ma nouvelle vie. Ils m’ont aidé à me reconstruire et à voir plus loin que ce que je croyais être capable de faire. Lorsqu’est venue le temps de mon inscription à l’université. Mon choix c’est arrêter sur Brunel car il y offrait le meilleur programme en psychologie et en travail social de toute l’Angleterre. Lors de mon acceptation à l’université, mes parents étaient des plus heureux. Ils en ont sauté de joie et ma mère à pleurer.
Cela fait maintenant deux ans que je fréquente Brunel et je mis sens bien et à ma place. J’ai quelque bon ami avec qui j’aime passer du temps. Malgré que je sois un peu plus solitaire. Mais qui sais, l’université nous réserve toujours des surprises…