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I would jump in front of a train for you!

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Maksim S. Russell
A Brunel U. depuis : 28/05/2015 Devoirs rendus : 350 ≈ âge : 34

Maksim S. Russell
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posté 12.08.15 23:27

I would jump in front of a train for you! Insurgent-theo-james
I would jump in front of a train for you!
FEAT. Gabriel A. Bakers


Ça faisait déjà près d’un mois qu’on vivait dans notre nouvelle maison Nathaniel, Jack et moi. J’avais adopté l’enfant lorsque j’avais sut les mauvais traitements qu’il avait vécue avec son ancienne famille. Des poursuites avaient été intentées contre les parents de mon enfant et nous avions gagné devant le tribunal. Nous avions passé devant le juge il y avait maintenant une semaine. Ça avait été une très lourde épreuve pour Nate et pour moi. Pour Nate d’avoir revu l’homme et la femme qui l’avaient battus, maltraités, négligé et presque tuer ça avait été un coup très dure. Et pour moi, de le voir trembler, avoir des cauchemars et des crises d’anxiété ça avait été dure car je voulais qu’il soit bien et en confiance. Enfin, depuis maintenant une semaine, le cauchemar était terminé. Nous vivions tranquillement tout les deux et j’essayais d’implanter une routine scolaire à mon fils qui n’avait que 4 ans. Lui n’allait pas rentrer à l’école avant au moins un an, mais pour moi, je devais retourner à l’université d’ici quelques semaines et je ne savais toujours pas comment j’allais faire pour pouvoir y aller la tête en paix. Nate ne me quittait pas d’une semelle car il n’avait confiance en personne vu ce qu’il avait vécu et je pouvais bien le comprendre. Mes parents étant à l’extérieur de la ville ne pouvaient pas non plus le garder et ma copine allait aussi à l’université. J’avais donc pris un rendez-vous avec mon professeur de psychologie du développement de l'enfant et la psychologie du développement de l'enfant à l'école primaire pour voir comment je pourrais faire pour les cours et les absences familiales.

Bref, ce matin là, je m’étais réveiller avant Nate ce qui n’étais pas dans mes habitudes. J’étais aller dans mon bureau pour m’assurer de l’heure du rendez-vous avec mon prof et pour lui envoyer un courriel de confirmation de ma présence et pour l’informer que je serais avec mon fils :
‘’Monsieur Bakers,  
je confirme avec vous la tenu de notre rendez-vous ce matin à onze dans votre bureau pour discuté de la possibilité d’emmener mon fils de quatre ans en classe avec moi. Je vous avise aussi que mon fils sera présent durant notre entretien puisque je ne peux le confier à aucune baby-sitter, ni à mes parents ou ma copine. Des explications vous seront fournis si vous le désirer.
Cordialement,
Maksim Shawn Russel
J’envoie mon message et je vais tranquillement dans la salle d’entrainement pour m’entrainer avant de me doucher et m’habiller, Mais je prends un t-shirt et je l’enfile au cas où Nate se réveillerais. J’avais repris cette routine depuis quelque jours déjà avec Nate saurait où me trouver. Mon fils avait vu mes cicatrices dans mon dos il y avait trois semaines. Mais ce n’était pas parce que je lui avais montré que je faisais exprès de me promener à moitié habiller dans la maison. Oui, je ne dormais qu’en pantalon de pyjama sans t-shirt, mais il dort alors je restais comme ça. Enfin, je vais dans ma salle d’entrainement et je commence à courir sur mon tapis avec un seul écouteur dans une oreille pour quand même entendre ce qui se passe dans la maison. Ma course terminer, je fais un peu de muscu et je passe ensuite rapidement dans la salle de bain. Je passe sous la douche pour enlever toute trace de sueur de ma personne et je sors en me séchant avec une serviette. Je mets ensuite mes vêtemesnts que je voulais un peu plus formel puisque j’avais rendez-vous avec mon futur professeur pour le reste de ma scolarité universitaire. J’enfile un pantalon propre marin très foncé et une chemise blanche.  Je dépose ensuite les vêtements de Nate dans la salle de bains pour  l’aidé à s’habiller et à se laver dès qu’il sera debout car il porte encore son atèle pour son épaule. Je vais dans la cuisine et je commence à faire le petit déjeuner : des gaufres avec du sirop d’érable et une montagne de fruit. Je vois aller mon petit homme qui arrive encore à moitié endormis.

-Bonjour mon grand! Bien dormis!!??
-Oui, j’ai bien dormis… mais j’ai mal!
-Oh oui, attend tien.


Je le pose doucement sur le comptoir de la cuisine et je lui donne ses médicaments avec un verre d’eau. Après qu’il les ait pris je lui souris doucement je l’emmène dans la salle de bain pour le laver et l’habiller.

-Tu te rappelle que c’est aujourd’hui qu’on va voir mon professeur.
-Oui, mais tu vas rester avec moi hein papa!?
-C’est promis, on va rester ensemble. Aller, tu prends un bain, tu t’habille, on mange et on y va.


Je lui retire son atèle et je l’aide à monter dans la baignoire et à se laver. Dès qu’il est propre, je l’aide à s'habiller et je lui remets son atèle. On se dirige ensuite dans la cuisine pour manger. Le repas terminer, je mets dans vaisselles dans le lave-vaisselle, je le mets en marche et je prends mon sac à dos déjà près et placer dans l’entrer.  Je prend Nate qui tien sa peluche dans bras, j’attrape mon sac et on parc tout les deux pour l’université en voiture. Dès que nous somme arriver. Je le dépose par terre et on se dirige vers le bureau de M. Bakers. Arriver devant la porte je cogne et dès que la porte s’ouvre Nate se cache derrière mes jambes en se serrant contre moi. Je regarde mon prof avec un grand sourire un main sur le tête de mon fils.

-Bonjour M. Bakers.

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Gabriel A. Bakers
A Brunel U. depuis : 08/08/2015 Devoirs rendus : 70

Gabriel A. Bakers
sweet member
posté 13.08.15 0:18

Ça faisait neuf mois qu'il vivait dans cette ville et il aimait bien sa nouvelle vie, même si c'était pas toujours facile, même s'il ne vivait plus dans les souvenirs de son fiancé il se souvenait de lui, parfois il avait l'impression qu'en ouvrant les yeux il allait le voir, seulement il était jamais là, parfois son fils était là, à cause des cauchemars parfois il venait rejoindre son père dans son lit. Le professeur c'était levé le matin, un de ses élèves l'avaient contacté pour un rendez-vous et il avait bien sûr accepté, il refusait jamais de rencontrer un étudiant qui avait besoin de lui parler, besoin de conseil. D'après ce que l'étudiant lui avait dit c'était à propos de son fils, il n'en savait pas plus pour l'instant, mais il allait savoir le tout aujourd'hui. Il alla réveiller son fils et lui dit : « Tu vas être correct cet après-midi, je vais me rendre à l'université pour rencontrer un étudiant. » Son fils qui était en train de manger son petit déjeuner lui répondit entre deux bouchée : « Oui je vais jouer au jeu vidéo ! » Gabriel alla se prendre un petit déjeuner aussi, un bol de céréales, rien de bien compliqué, il voulait arriver un peu à l'avancer à l'université. « Je vais avoir mon téléphone avec moi si jamais. » Son fils fit un genre de bruit étrange pour dire que c'était correct et alla jouer aux jeux vidéos après avoir ranger son bol. Avant de prendre sa douche il avait vérifié ses courriels et tomba sur le courriel de son élève qui voulait confirmer le rendez-vous et prévenir que son fils allait être présent comme il ne pouvait le confier à personne.

Citation :
Bonjour M. Russell,
Oui je vais bien être là à onze heure, même un peu avant si vous arriver à l'avance vous pourrez venir me voir tout de suite à mon bureau. La présence de votre fils ne me dérange pas du tout.
Cordialement,
Gabriel Bakers.

Gabriel enfila une paire de jean, il n'était pas du genre formel, mais ça restait malgré tout bien. Une fois habillé. Il salua son fils lui disant encore qu'il avait son cellulaire avec lui s'il y avait un problème. Il pris sa voiture et se rendit à l'université, il se rendit à son bureau et mis un peu d'ordre et sortit des plans de cours et ce qu'il devait préparer pour les cours. Il entendit après un moment cogner à la porte et il alla ouvrir et serra la main de son élève.

« Bonjour, je suis content de te voir, Maksim, tu peux m'appeler Gabriel, je suis pas trop sur les formalité " vouvoiement et monsieur." Comment ça va ? Entrez, vous pouvez vous installer tous les deux. » Il fit un sourire au petit garçon qui était caché derrière lui. « Comment tu t'appelles toi ? Moi c'est Gabriel, je suis le professeur de ton papa et tu sais quoi ? Moi j'ai un garçon aussi, mais il est plus vieux que toi, il a dix ans et il s'appelle Jamie. »

Il les laissa entrer dans le bureau et lui fit un sourire et s'installer au bureau. « Ça te dirais de faire des dessins pendant qu'on parle avec ton papa ? » Il sortit des feuilles blanches et des crayons afin d'occuper le petit pendant qu'eux allaient parler. « Bon alors je t'écoutes Maksim, tu voulais me parler de la situation avec ton fils et les cours ? » Il s'était assis de l'autre côté de son bureau afin de parler avec Maksim, son petit était adorable, ça lui faisait pensé à son fils quand il avait cet âge.

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Maksim S. Russell
A Brunel U. depuis : 28/05/2015 Devoirs rendus : 350 ≈ âge : 34

Maksim S. Russell
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posté 13.08.15 1:10

J’étais finalement arrivé avec Nate devant le bureau de mon prof. J’avais cogné et tout de suite mon fils s’était caché derrière mes jambes. Je savais qu’il allait faire ça car il le faisait toujours. Malgré que je l’avais préparé à se rendez-vous depuis deux jours, il avait encore beaucoup de mal à faire confiance. Je lui caresse doucement les cheveux et je serre la main de mon professeur en souriant. Il me demande alors de le tutoyer et mon sourire s’agrandit. J’avais toujours eut du mal avec les formalités que m’imposais la vie de mes parents. Alors lorsqu’on me disait que je pouvais tutoyer et appeler par le prénom j’en étais drôlement soulager. Je regarde alors mon fils et je lui prends doucement sa main valide.

-Content aussi de te rencontrer et j’ai toujours préférer tutoyer… j’ai jamais été habituer au formalité… enfin…Je vais très bien merci et toi??

J’entre dans le bureau avec lui et il passe de l’autre coter. Je laisse tomber mon sac à dos par terre et je regarde Nate doucement en lui souriant. Il se cache toujours derrière mes jambes mais il répond tout de même à mon professeur dans des demi-mots à voix basse.

-Nathaniel… Ohh… il est grand!!

Je sais que Nate est un peu rassuré de savoir que mon professeur à un enfant lui aussi. Mais il reste toujours contre moi en serrant sa peluche dans ses bras. Il la traine partout peut importe l’endroit où l’on va. Je lui avais acheté cette peluche pour le rassurer et pour lui faire plaisir lorsqu’il avait emménagé avec moi.

-Oui, j’aime beaucoup dessiner.

-Tien, j’ai autre chose pour toi dans mon sac!!

-Merci papa!!

J’ouvre mon sac et je lui en sors une collation et une bouteille d’eau, et quelques jouets que je lui avais emmené. J’étais content qu’on lui propose de dessiner car il aimait toujours dessiner. Je savais aussi que les médicaments que je lui avais donnés avant de partir allaient commencer à faire effet et qu’il allait venir dormir contre moi un peu plus tard. Je prends alors une grande respiration. J’avais toujours eut beaucoup de mal à demander de l’aide vu le passer que j’avais eut et je préférais toujours m’arranger par mes propres moyens avec Nate dans ma vie, maintenant je ne pouvais plus jouer les têtes de cochons comme je le faisais tout le temps. Je devais penser à lui plus qu’à moi. Je m’attardai une dernière fois vers mon petit ange et je regarde mon professeur en prenant une autre grande respiration.

-Oui, et bien… uhmm… Tu as peut être un peu entendu de ce qui c’est passer puisque le procès à été médiatiser mais Nate a un passé assez lourd avec son ancienne famille. Il est avec moi depuis un peu moins de deux mois et il a encore beaucoup de mal à faire confiance au gens. Ça m’étonne encore qu’il t'ai adressé la parole. Enfin… je ne veux pas arrêter l’université mais je ne peux pas le confier à personne et il ne peut pas se séparer de moi… alors…

J’arrête de parler quelques secondes pour prendre sur moi et pour piller sur mon orgueil pour lui demander de l’aide. J’ose un regard vers mon fils qui dessine toujours assis à une petite table dans un coin du bureau de mon enseignant.

-… j’aimerais savoir s’il peut m’accompagner en cour avec moi… Enfin… pour les deux cours que je suivrai avec toi cette année… se sera un bon début et j’essaierai de m’arranger pour mes autres cours car aucun autre professeur n’à accepter Nate dans leur classe.

Je n’essayais pas de faire pitié au contraire. Je disais simplement la vérité. Aucun autre enseignant n’avait acquiescer à ma demande et je me retrouvais toujours chou blanc devant la porte de leur bureau.

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Gabriel A. Bakers
A Brunel U. depuis : 08/08/2015 Devoirs rendus : 70

Gabriel A. Bakers
sweet member
posté 13.08.15 2:41

- Je préfère aussi, j'ai l'impression d'être encore plus vieux que je ne le suis, oui je vais bien !

Gabriel s'était ensuite présenter à Nathaniel, lui faisant un petit sourire alors que le petit lui répondit pas fort en disant que son fils était grand.

- Enchanté Nathaniel, oui il est grand, mais il a déjà été petit comme toi.

Le professeur les avaient invité à entrer et proposa en même temps au petit de dessiner, à son âge Jamie aimait beaucoup dessiner, le petit avait un bras immobiliser, mais ça ne semblait pas pouvoir l'empêcher de dessiner comme il accepta de dessiner et affirma aimer dessiner.

- Jamie aussi aimait dessiner, il est meilleur que moi d'ailleurs, tu veux que je te dise un secret ? Je suis nul en dessin, il y a pas plus nul que moi. Oh fait elle est belle ta peluche.

Il lui fit un clin d'œil et le laissa s'installer pour dessiner et il se concentra plutôt sur son étudiant qui avait sortit des collations et une bouteille d'eau pour son fils. Ça semblait être un père attentionné et protecteur, ce qui lui fit pensé a lui quand son fils avait Jamie. Il était le temps d'aborder un sujet plus important, ce qui amenait Maksim dans son bureau. Il écoutait donc son étudiant lui parler de Nathaniel, de ce qu'il avait vécu, il avait en effet entendu parler de ce cas, c'était difficile pour lui ayant été un enfant battu aussi. Il n'était pas surpris de son côté que le petit lui ait parlé. Ce jeune homme lui faisait une demande un peu particulière, soit d'amener son fils dans la classe avec lui, pour les deux cours qu'il suivait avec lui. Comment lui refuser ça ? Il lui fit un sourire et répondit :

- D'un côté, je ne suis pas vraiment surpris, ce n'est pas évident à expliquer, personne n'a vraiment pu définir pourquoi, mais on le sent quand quelqu'un à vécu la même chose que nous, surtout enfant, sans s'en rendre compte, il a du comprendre que de mon côté j'ai vécu la même chose que lui. Mon père était violent, malheureusement je n'ai pas eu la chance d'avoir un jeune homme comme toi dans ma vie, j'ai du endurer jusqu'à ma majorité. Je peux donc parfaitement comprendre ce qu'il vit et ce que tu veux dire par le fait qu'il a du mal à faire confiance aux autres. J'ai aucun problème à ce que tu l'amène dans la classe, durant les examens il aura juste à venir à mon bureau pour dessiner afin que tu puisse te concentrer. Pour les autres cours, je peux pas convaincre les autres professeurs, mais s'il arrive à me faire confiance, il pourra toujours venir dans mon bureau et jouer dans mon bureau, je le surveillerai, ça me ferait plaisir de m'occuper de lui afin de t'aider, tes études sont importantes et il faudrait pas que tu ne puisse pas les finir. Donc, ça sera à lui de voir s'il veut venir dans mon bureau quand tu seras dans les autres cours.

Il marqua une pause un instant alors qu'il regarda le petit qui semblait commencer à s'endormir et s'était levé pour aller dans les bras de son papa pour dormir. Il ne comprenait pas ses pères qui faisaient souffrir leur fils, leur enfant, aucun enfant ne devrait vivre ça.

- Si jamais tu as du mal d'en autre cours, que tu dois manquer d'autres cours, hésite pas à venir me voir, c'est pas parce que j'enseigne pas ces cours que je ne peux pas t'aider. Surtout il faut pas hésiter à venir me voir s'il y a quoi ce soi, autant avec ce petit bout que pour l'université. Je sais combien c'est dure parfois d'être père et qu'on veut le meilleur pour notre fils. Il y a autre chose aussi dont tu voulais me parler ?

Autant en profiter, c'était pas obliger d'être par rapport au cours et Nathaniel, il avait envie d'apprendre à connaître un peu ce jeune homme bien courageux d'avoir adopter un enfant comme ça.

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Maksim S. Russell
A Brunel U. depuis : 28/05/2015 Devoirs rendus : 350 ≈ âge : 34

Maksim S. Russell
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posté 13.08.15 5:06

Gabriel explique alors à Nathaniel que son fils aussi avait été petit. Ce qui me fait rire légèrement. Nate est toujours caché derrière et il regarde mon prof avec de grand yeux. Mon fils lui affirme qu’il aime dessiner et mon prof lui répond que son fils aime aussi et qu’il est meilleur que lui. Nathaniel écarquille les yeux presque admiratif devant ce plus grand qu’il ne connaît.

-Wouah…. C’est trop chouette!! Moi aussi je veux être bon comme lui!! Il pourrait m’apprendre?? Merci! C’est Capitain América!! C’est mon super héro préférer!!


Je souris aux paroles de Nathaniel. Ce petit m’étonnera toujours. Je prends place devant mon professeur de l’autre coté de son bureau et je lui expose mon problème. Je pousse un long soupire lorsqu’il parce de compréhension de la vie de l’autre. C’est probablement pour cette raison que nous nous somme trouver Nathaniel et moi. Je suis surpris d’apprendre que lui aussi a vécu des mauvais traitements par c’est parent. C’est probablement pour cette raison que je me sens aussi sur de moi avec lui et aussi prompte à lui raconter mes problèmes. Je suis aussi surpris des propositions qu’il me fait et je regarde Nathaniel du coin de l’œil en le voyant de plus en plus fatiguer.

-Alors, j’imagine que ces pour cette raison que nous nous somme trouver lui et moi. Il a dut ressentir mon passer comme j’ai ressentie le sien. J’ai voulu lui offrir la chance que j’ai eut avec mes parents adoptifs. Mais comparer à lui… il a la chance d’avoir été rescapé à un très jeune âge et il pourra guérir surement plus facilement que nous. Même s’il ne faut pas sous estimer la douleur et l’incompréhension que ressente les enfants. J’ai…. J’ai aussi été maltraité… par mes deux parents lorsque j’étais jeune… J’en garderai les cicatrices toute ma vie… Mais j’ai eut la chance d’avoir un frère qui m’a sauver la vie… et une famille adoptive qui m’en ont donné une nouvelle… C’est vraiment gentil de me laisser l’emmener en classe… Si tu savais a quelle point ca m’enlève un poids sur les épaules. Et moins je saurai qu’il est en sécurité et qu’il est bien et en confiance. Ça me donne la chance de pouvoir terminer mes études pour lui offrir quelque chose de bien dans la vie… J’veux pas me retrouver comme la plus part des fils à papa millionnaire qui ne travail pas... J’veux quand même travailler pour lui montrer que c’est important dans la vie… enfin… merci beaucoup!!! Il à déjà l’air de te faire confiance!!

Mon fils était venu me rejoindre. IL était fatiguer par les médicaments et il était venu se blottir contre moi avec sa peluche pour dormir. Je le serre doucement dans mes bras et lui caressais la tête. Oui, à certain moment je pouvais carrément avoir l’air d’un père poule trop protecteur mais avec mon passer et celui de Nathaniel s’était un peu normal.

-Alors d’un père à un autre on peut se comprendre. C’est gentil… et… malgré mon orgueils d’Américain et ma tête de cochon… je n’hésiterai pas!! Toi non plus si tu cherche quelqu’un pour garder ton fils.

Il me demande alors si j’avais autre chose dont je voulais lui parler. Avec son sourire avenant et l’histoire qu’il avait vécue, j’imagine que je pouvais mieux m’ouvrir à lui. Je caresse toujours la tête de mon fils pour lui signifier que je suis là pour lui.

-J’ai toujours peur… peur de pas y arriver… peur de finir comme mon père… de finir par le frapper sans aucune raison… je… j’ai peur…de lui faire vivre ce que mon père ma fait vivre et ce que son père lui ai fait vivre. Ce n’est pas moi qui l’ai mit au monde… mais je l’aime comme s’il était de mon sang… J’ai peur d’être un mauvais père… Tu sais… lorsque ton père te frappe dessus avec la force d’un tank… que l’amour et les je t’aime sont remplacer des yeux au beurre noir et des coups de poing dans le ventre… J’ai peur d’être trop traumatiser et trop fragile pour m’occuper de lui…

Je baisse la tête complètement honteux parce que je viens de dire. J’ai peur qu’il me prenne pour un faible et qu’il fasse un plainte au service de l’enfance ou quelque chose du genre. Devant son silence, je lève les yeux pour découvrir qu’il me sourit. Ce qui me redonne un peu de courage.

-J’aime cet enfant plus que tout au monde. Je pourrais mourir pour lui, sauter devant un train et me mettre en danger pour que lui sois en sécurité…


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Gabriel A. Bakers
A Brunel U. depuis : 08/08/2015 Devoirs rendus : 70

Gabriel A. Bakers
sweet member
posté 13.08.15 12:29

Il eut un petit sourire en entendant le petit bout dire que c'était trop chouette et qu'il voulait être bon comme son fils, lui demandant s'il pourrait lui apprendre et il affirma que sa peluche c'était Captain América et que c'était son héros préférer.

- Bien sûr mon grand, qu'il pourra t'apprendre, je vais lui en parler ce soir et ton papa et toi pourrez venir à la maison pour qu'il t'apprenne, tu pourras jouer avec lui, on vit sur une ferme, on a des chevaux tu pourras aller les voir avec lui. Il adore jouer au foot aussi, si tu aimes tu pourras jouer avec lui.

Gaby lui fit un sourire alors qu'il parla plutôt avec l'étudiant, ce jeune père. Il écoutait les paroles de celui-ci, alors qu'il lui expliquait que c'était sûrement pour cette même raison – le fait d'avoir un passée similaire – qui faisait en sorte que Nathaniel lui faisait plus confiance. Il lui expliqua que lui aussi fut battu par ses parents, maltraiter, un peu plus vieux que Nathaniel, il hocha la tête, pensif. Il était vraiment rassuré d'après ce qu'il pouvait dire de pouvoir amener son fils dans ses cours et que celui-ci semblait déjà lui faire confiance. Ce fut après lui avoir parler du fait qu'il voulait pas être un de ses fils de millionnaire qui ne travaille pas, il voulait lui apprendre l'importance de travailler.

- Il a de la chance, malheureusement je m'en suis seulement sortit quand j'ai pu quitter pour aller à l'université, j'en garde aussi des cicatrices, ce ne fut pas évident quand mon fils a été en âge de poser des questions sur mes cicatrices, mais il comprend, il comprend pourquoi il ne voit jamais son grand-père et que jamais personne ne lui fera du mal. Ça me fait plaisir de t'aider, oui en effet il a l'air de me faire confiance, il a compris que je ne lui voulais pas de mal, je doute qu'il accepte de rester seul avec moi tout de suite, mais on verra lors de ton premier cours qui n'est pas avec moi. Tu pourras lui en parler quand il se réveillera.


Il dit cela puisque le petit s'était levé pour aller s'endormir dans les bras de son papa. Il eut un sourire quand il affirma que oui il allait lui demander de l'aide lorsque besoin malgré son orgeuil et sa tête de cochon. Il lui affirma que si de son côté il avait besoin de quelqu'un pour garder son fils de ne pas hésiter.

- Je vais pas hésiter non plus de mon côté, merci de la proposition.

Il lui demanda s'il voulait lui parler de quelque chose et il fronça les sourcils un petit instant en l'écoutant parler de lui ou plutôt de sa peur. Il avait peur de finir comme son père violent, une peur que tout le monde avait surtout les enfants battus. Il lui fit un petit sourire et le regarda un moment pour prendre parole afin de le rassurer :

- Tu sais c'est une peur que tous on, perdre un jour le contrôle et frapper son enfant, du moins tous les parents qui tienne à leur enfant. À te voir avec lui, voir comment il est tranquille, je doute que ça arrive un jour, mais sache que si un jour tu penses perdre le contrôle, tu penses que tu vas lever une main sur lui, sors un peu, prendre le téléphone et appel moi, peut importe le jour et l'heure de la journée, moi j'avais quelqu'un pour m'aider, quelqu'un pour veiller sur moi, s'assurer que ça n'arrive jamais, Aiden, l'amour de ma vie, malheureusement il est mort il y a un an, c'est pour ça on a déménager ici afin de repartir à neuf. Tu connu l'amour de parents aimant, ce que je n'ai pas connu, ça te donne un avantage, tu as un exemple de comment aimer, ce que je n'avais pas et je m'en sors plutôt bien je crois, mon fils est heureux, bon c'est sur qu'il vient de perdre son autre père, mais il n'a jamais été battu et si jamais je sentais que j'allais perdre le contrôle je le regardais, je prenais le temps sortir me changer les idées un peu et me calmer.

Il marqua une pause pour ajouter :

- Tu ne me sembles pas être quelqu'un de violent, mais je ne te connais pas beaucoup, ce que je vois par contre c'est un père aimant, très protecteur qui veut le bien de son fils.

Le professeur eut un sourire et pensa un moment, ce n'était pas toujours facile ce genre de chose, devenir père alors que notre père nous a battu, on ne savait pas sur quoi se fier, mais lui semblait très bien s'en sortir et Gabriel serait là pour l'aider n'importe quand comme il pouvait comprendre mieux que quiconque ce qu'il pouvait ressentir et vivre.

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Maksim S. Russell
A Brunel U. depuis : 28/05/2015 Devoirs rendus : 350 ≈ âge : 34

Maksim S. Russell
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posté 14.08.15 3:22

Gabriel nous propose alors de venir chez lui comme ça son fils pourra apprendre au mien comment dessiner. Je lui souris doucement. Je ne pensais jamais que ma relation avec l’un de mes professeurs pourraient en être une d’amitié. J’avais toujours vu les professeurs comme des êtres exigent, distant et froid. Mais Gabriel n’était pas comme ça au contraire. Lorsqu’il parle de chevaux Nathaniel me regarde avec un grand sourire et je lui réponds avec un clin d’œil.

-Papa aussi à un cheval. Et grand-papa a des bébés chevaux à la maison d’été… des pou-lains… et il a dit que quand mon bras sera guérit je pourrai en choisir un et papa m’apprendra à monter…

Je regarde mon prof en souriant. Je sens déjà que je vais avoir une bonne relation avec lui et que mon fils aura une bonne relation avec lui et c’est ce que je trouve le plus important. J’expose ensuite mon problème à Gabriel et j’écoute ensuite sa réponse. Je souris lorsqu’il me dit que Nathaniel à de la chance d’avoir un père comme moi. J’ose un regard tendre vers mon fils en souriant. Il me parle ensuite de son fils et des questions qui sont venu avec le temps.

-Non, c’est moi qui ai de la chance d’avoir un fils comme moi!!! Pour un enfant aussi briser, il a beaucoup de joie de vivre et il est très facile… J’ai beaucoup de chance de l’avoir. Oui, je sais ce que ces… mon fils à aussi vu les miennes et m’a poser beaucoup de question… surtout que les miennes sont… enfin… spéciale… Et c’est sur que je vais lui en parler… va juste falloir qu’il s’habitue un peu plus à toi pour pouvoir passer du temps avec toi. Mais il comprend rapidement alors je ne crois pas qu’on aura des problèmes.

J’acquiesce doucement de la tête lorsqu’il me dit qu’il n’hésitera pas non plus s’il a besoin de quelqu’un pour garder Jamie. Ce qui me fait plaisir car je veux autant l’aider qu’il veut m’aidé lui. Je lui raconte ensuite mes peurs. En parlant, j’en avais presque les larmes aux yeux mais je me retiens de toutes mes forces pour ne pas avoir l’air faible devant lui. Je ne veux avoir l’air faible devant personne. Je lui fais un petit sourire en coin lorsqu’il parle. C’est paroles me rassure et me donne une meilleur confiance en moi.

-Je doute aussi que ça arrive un jour car je ne suis pas comme lui. Au fond de moi, je sais que je ne suis pas comme lui. Mais j’ai quand même toujours cette peur au creux du ventre. J’suis désolé pour lui… Moi j’ai Aleksix… mais comme elle aussi est à l’université et qu’on vient de se rencontrer… elle n’est pas toujours avec moi et c’est dans ses moments là que j’ai peur de perdre le contrôle. Mais je vais t’appeler… si j’en ai besoin… Et avec mon père qui m’appelle a toute heure du jours et de la nuit ses dernier temps… c’est dure d’être patient… Surtout lorsque je dois passer plusieurs heures au téléphone pour le calmer… Il est dans un institut psychiatrique à Vegas depuis que j’ai 13 ans… Il est une psychose maniaco-dépressive et des épisodes de psychose schizophrénique et des épisodes paranoïaques… figurant qu’il est enfermer dans le même hôpital que ma mère je peux comprendre… enfin… c’est une longue histoire…

Je prends une grande respiration. J’ai peur d’en avoir trop dit et qu’il me prenne pour une espèce de fou hypocondriaque qui cherche de l’attention. Enfin, je regarde doucement mon fils qui dort dans mes bras et je lui caresse doucement la tête.

-Merci pour ce que tu me dis… ça me fait du bien et ça me remonte le moral un peu!! Ça me montre que je n’ai pas fait des mauvais choix…


Je lui souris doucement et je replace Nate sur moi pour qu’il soit un peu plus confortable. Je regarde ensuite Gabriel et je repense à la conversation sur les chevaux qu’il a eut avec Nate.

-Au fait... tu monte depuis longtemps???

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Gabriel A. Bakers
A Brunel U. depuis : 08/08/2015 Devoirs rendus : 70

Gabriel A. Bakers
sweet member
posté 14.08.15 3:48

Il ne pensait pas lui non plus que ça irait jusque là aujourd'hui, à ce qui les invite à la maison, mais il se disait que ça pourrait être un bonne idée et puis ça ferait du bien autant à l'un qu'à l'autre d'après lui. Ce n'était pas facile d'être père célibataire surtout dans un cas comme le sien, Gab avait de la chance, son fils n'avait rien vécu de grave, enfin sauf la mort de son père, mais il n'avait pas été battu et jamais personne ne lèvera la main sur lui, Gabe allait s'en assurer, il ne supporterait pas de faire de mal à son fils ou que quelqu'un lui en fasse. Il savait que la mort de son père le faisait souffrir, mais c'était normal, mais ils étaient là l'un pour l'autre et c'était le plus important. Il eut un petit sourire en entendant la réponse du petit.

« Oh c'est bien ça, tu dois avoir hâte alors ! Tu pourras monter mes chevaux aussi, ils sont gros donc peut-être monter avec ton papa ou moi si tu veux, Jamie s'en sors bien, mais il en fait depuis seulement quelques mois donc il pourrait pas en faire seul avec toi. Par contre tu pourras jouer à ce que tu veux avec lui, il a toujours voulu un petit frère donc il va être content d'avoir un plus jeune avec qui jouer et à qui il peut apprendre des choses. »

Son Jamie a toujours voulu un petit frère, mais avec ce qui est arrivé, Gabriel n'avait pas l'intention d'avoir un autre enfant, peut-être adopter, mais comme il est seul maintenant il se dit que c'est pas une très bonne idée, il ne s'en ai pas encore remis et son fils non plus, alors il doit prendre le temps, recommencer à vivre normalement après cette dure perte. Une fois le petit endormit dans les bras de son papa, un autre sujet fut aborder, maintenant que la situation était réglé pour le fils de Maksim qui allait venir en cours, il parlait de son vécu et du vécu de Maksim, de même que celui de Nathaniel à vrai dire.

« Il a l'air de bien s'en sortir, avec un bon père je crois qu'il va arriver à mettre ça derrière lui, peut-être pas oublier surtout s'il garde des cicatrices, mais le mettre de côté et vivre heureux avec son père. Oui j'imagine qu'il a eu beaucoup de questions, Jamie aussi m'a posé beaucoup de questions, quand il m'a demandé si j'allais le frapper comme mon père me frappait… ce fut horrible, l'entendre dire ça, mais je crois qu'il voulait seulement être sûr, rassuré après ce qu'il venait d'apprendre, mais il sait que je lui ferais jamais mal. Je n'aurais aucune raison de m'en prendre à lui après tout, j'ai de la chance d'avoir un gamin aussi tranquille et responsable pour son âge. C'est normal qu'il ait besoin de passer du temps avec moi, on prendra le temps qui faut, si jamais il faut passer ces prochains jours ensemble pour quelques heures ça va me faire plaisir de vous inviter chez moi, vous voir au parc, ça me dérange pas, mais on fera en sorte qu'il me fasse confiance pour que tu puisse assister à tes cours sans crainte. »

Il lui fit un sourire et regarda le petit attendri par la situation. Il l'écouta ensuite lui parler de quelque chose de difficile, la peur de frapper lui aussi son fils, mais il ne pensait pas que ça allait arriver, il savait au fond de lui qu'il n'était pas comme son père et il accepta de l'appeler si besoin. Il lui parla de son frère qui l'appelait de son hôpital psychiatrique, lui expliquant la situation de celui-ci.

« Ce n'est pas facile comme situation, si tu as besoin de parler surtout n'hésite pas, je suis là pour ça, je ne suis pas là pour te juger, peut importe ce que tu peux me dire ça va rester entre nous deux. Je suis sur que tout va bien aller pour ton fils et toi, vous semblez très proche. »

Il lui fit un sourire alors qu'il regardait le petit qui dormait. « Ça fait plaisir, tu n'a pas du tout fait les mauvais choix, au contraire, tu offres une belle vie à ce petit bout qui ne mérite que d'être heureux. » Il fit un sourire à celui-ci, le petit dormait paisiblement, c'était adorable. Maksim décida de changer de sujet pour parler de quelque chose de plus détendu, qui n'était pas stressant.

« J'ai appris à monter quand j'étais petit, mon père avait une ferme donc je l'aidait sur la ferme, je m'occupais des chevaux et j'ai appris à les monter seul, c'est pas mon père qui m'aurait appris, mais un de ses employés m'a aider un peu et m'a donné des conseils. À partir de treize ans j'étais scolarisé à la maison… donc je passais le matin à suivre des cours avec un professeur particulier et l'après-midi j'étais sur la ferme avec les chevaux. Je me suis dis que ça pourrait être bien pour Jamie de découvrir un peu le monde dans lequel j'ai grandit, sans la violence bien sûr, et toi ? Tu montes depuis combien de temps ? »

Il avait un peu plus parler qu'il ne le pensait, mais ça lui venait naturellement avec ce jeune homme, il était sympathique et avait un passé similaire ce qui devait aider.

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Maksim S. Russell
A Brunel U. depuis : 28/05/2015 Devoirs rendus : 350 ≈ âge : 34

Maksim S. Russell
on the top of the top
posté 14.08.15 7:30

Je souris lorsque Gabriel dit à Nate que son fils voulait un petit frère. Nate me regarde et il regarde ensuite mon professeur en souriant. Un sourire d’enfant sincère et sans reproche. Il hausse alors les épaules et il dit tout souplement.

-Je crois que je préfère être son ami… je ne veux pas changer de papa!!

Je pouffe tout simplement de rire et je laisse Nathaniel aller dessiner dans son coin pendant que je discute avec mon professeur. Je ne pensais pas que notre entretien sur mes questions académiques allait se terminer aussi vite et qu’on aborderait des questions aussi personnel que nos passés respectif et celui de mon fils. Je l’écoute parler et je repense à plusieurs souvenirs douloureux de mon enfance. Je peux presque ressentir à nouveaux les poings de mon père sur mon corps, ces coups de boucle de ceinture ou bouteille cassé dans mon dos et ensuite la lame de rasoir de ma mère pour ‘’effacer’’ le passage de mon père. Je revis intérieurement toute ses sensations qui m’on quitter depuis bien longtemps : la douleur, la honte, l’anxiété et le questionnement. Je secoue doucement la tête et je lève les yeux pour poser mon regard sur Gabriel qui en apparence est aussi fort, courageux et confiant que moi mais qui à l’intérieur est probablement encore aussi brisé que moi. Je lui fais un faible sourire.

-Oui, avec du temps et beaucoup d’amour, il arrivera à mettre son passé de coter et à vivre avec tout simplement. Il n’oubliera jamais car on n’oublie jamais ce genre de chose… mais il apprendre, comme nous, à faire abstraction. C’est étrange…avec la période de questions, il n’a pas demandé si j’allais le frapper… il m’a simplement demandé si j’avais encore mal. Il n’a… jamais émit l’hypothèse que comme son père et le mien, je pourrais lever la main sur lui. Nate aussi est responsable… lorsque je dors encore le matin, il nourrit le chien seul, se prend un bol de fruit que je laisse toujours dans le frigo et il regarde la télé jusqu'à ce que je me réveille ou que la douleur à son épaule est trop intense. Là il vient me réveiller. On a beaucoup de chance tout les deux alors d’avoir des enfants aussi extraordinaire. Et ta proposition est vraiment gentille!! Mais je ne veux pas te priver du peu de temps qu’il reste avant la rentrer que tu pourrais passer avec ton fils!!

Je replace alors Nathaniel contre moi pour qu’il soit confortable et que son épaule reste immobile. Je suis bien avec mon fils dans mes bras et je ne pensais jamais autant aimer un petit être de ma vie. Je souris à Gabriel.

- On n’a pas le choix d’être proche… il est toujours coller à moi… un vrai bébé kangourou!!!

Bon d’accord… la blague n’était pas très drôle mais durant la nuit j’avais regardé un reportage sur les kangourous pendant que Nate dormait contre moi comme à son habitude. J’avais trouvé la comparaison plutôt comique sur le coup. Je décide alors d’aborder un sujet un peu plus léger que nos enfances respectives. Je parle de chevaux. J’ai toujours aimé les chevaux et lorsque mon père adoptif m’avait appris à monter j’avais été l’adolescent le plus heureux de monde. Bref, je lui souris doucement et je repense à mon premier jour à cheval.

-J’ai appris à monter il y a environ 10 ans… J’avais 15 ans lorsque mes parents adoptifs m’ont ramené des États-Unis… Mon père à cru bon, pour mon adaptation, de vivre les premiers mois à la maison d’été. J’ai fait un peu de zoothérapie avec un thérapeute pour essayer de diminuer mes cauchemars, mes sautes d’humeurs et mes mauvaises habitudes physiques et psychologique. Au début, on travaillait surtout avec des chiens. Mais chaque fois que j’en avais l’occasion, je m’échappais pour aller voir les cheveux à l’écurie. Quand mon père l’as sut... il est venu me rejoindre, m’a mit un casque sur la tête et m’a aider à monter un jeune étalon qu’il entrainait depuis plusieurs mois. Le cheval avait été rejeté par les autres cheveux du ranch où il avait vécut et il avait été rescapé d’une écurie en flamme. Il était en quelque sorte traumatiser… dès que je l’ai approché on a, si je peux dire, connecter tout les deux. Je suis le seul et le premier qui aie réussi à le monter alors que je n’en avais jamais fait. Alors… Smoke et moi, c'est une vieille histoire d'amour. Ça remonte à longtemps maintenant!!

Je le regarde et je lui souris. J’ai tendance à trop parler et à donner trop de détail avec lui. Mais il m’est très sympathique et il est tout simplement très facile de lui parler. Il m’écoute sans me juger ou m’interrompre. Je souris alors en le détaillant un peu mieux. Je ris un peu en lui faisant un clin d’œil!!!

- Je ne t’imaginais pas trop comme un fermier!! Mais d’un autre coté… je ne crois pas que tu m’as imaginé comme un jeune sans abri non plus!!

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Gabriel A. Bakers
A Brunel U. depuis : 08/08/2015 Devoirs rendus : 70

Gabriel A. Bakers
sweet member
posté 14.08.15 12:21

Il eut un petit rire en entendant celui-ci, il était adorable ce petit garçon le professeur lui affirma alors : « Oh mais non mon grand, je te disais pas de changer de papa, je disais seulement qu'il te verrais comme un petit frère, c'est un sentiment, au lieu de juste te voir comme un ami, mais c'est pas bien important, mon grand, t'inquiètes pas Maksim va toujours rester ton papa. » Il regarda la petit dessiner alors que les deux hommes parlaient, le petit était revenu dormir dans les bras de son papa, il continua de parler alors qu'ils parlaient maintenant du fait que le petit allait s'en remettre, il eut un petit sourire en l'entendant dire que le petit ne pensait pas qu'il allait le frapper, mais plutôt demander si lui souffrait.

« Il ne te l'a pas demandé sûrement parce que tu lui as déjà dit que jamais tu lèverais la main sur lui, il semble penser beaucoup aux autres, c'est pas le cas de tous les enfants, mais ce qu'il a vécu fait de lui ce qu'il est maintenant, Jamie aussi voulait savoir si ça me faisait encore mal, malheureusement j'ai parfois mal à la jambe à cause de ce qu'il m'a fait il m'a brisé le genou un soir quand il m'a surpris à vouloir sortir par la fenêtre pour aller rejoindre mon petit ami… » Il marqua une pause, se massant son genou où il avait une grosse cicatrice à cause de l'opération, il était douloureux à en parler mais c'était peut-être juste une impression par contre, il aimait le sport et ça lui nuisait parfois. « C'est bien qu'il soit aussi responsable, c'est mignon, Jamie aussi se débrouille bien, il est seul à la maison là, il joue au jeune vidéo, comme j'avais pas l'intention de partir longtemps. Oh mais t'inquiètes pas pour ça, Jamie peut venir avec moi, un autre enfant ne pourrait qu'aider Nathaniel d'après moi, jouer avec un autre enfant pourra être une façon de le détendre et apprendre à me faire confiance. Que dirais tu de venir avec lui chez moi, un petit dîner tranquille, on peut se commander de la pizza et Jamie et Nath pourront apprendre à se connaître et jouer ensemble. »

Il eut un petit rire quand celui-ci affirma qu'ils n'avaient pas le choix d'être proche vu qu'il était un vrai bébé kangourou ce qui le fit rire. « Je vois ça ! » Il a eut un sourire et il s'était mis à parler d'un sujet plus facile, l'équitation. Il lui parla d'un peu plus de chose qu'il voulait, ce n'était pas son genre de parler autant, mais ça lui venait tout naturellement avec lui. Il lui fit un sourire et l'écouta ensuite lui parler de son arrivé dans sa famille adoptive, la zoothérapie, l'équitation, sa famille semblait être une bonne famille, lui avait perdu sa mère à sa naissance, son père lui en a toujours voulu, il ne s'est jamais occupé de lui, c'était des nounou et quand il fut trop vieux pour une nounou d'après son père il s'est retrouvé à s'occuper de lui-même.

« Tu sembles avoir une bonne famille, je suis content pour toi, vraiment, j'ai vraiment commencer à vivre quand je suis parti à l'université, je suis resté vivre sur le campus pour ne pas avoir à continuer à vivre avec mon père, c'est à l'université que j'ai rencontrer Aiden et Lorelaï elle était ma meilleure amie, la mère de mon fils, Aiden était mon fiancé avant de mourir, il était policier. On s'est rencontré à l'université et on ne s'est jamais quitté. » Il évitait de parler du fait que Lorelaï était morte en mettant au monde son fils, que son mari était mort dans une fusillade à la sortie d'un bar avec lui, il a garder deux cicatrices de la fusillade au niveau du torse, les traces de balles. Il entendit son téléphone sonner et c'était son garçon, il se leva pour lui parler : « Oui je rentre bientôt mon grand, on va avoir de la visite ce soir, mon étudiant et son fils de quatre ans va venir, il aimerait beaucoup que tu lui apprennes à dessiner, je lui ai dit combien tu dessinais bien. » Il marqua une pause pour écouter la réponse de son fils et eut un petit sourire : « Je me doutais que tu voudrais, oui c'est une bonne idée, je suis sur qu'il va être content. On va manger de la pizza ce soir. » Il s'assit de nouveau et dit : « Mon fils à hâte de le rencontrer, il a dit qu'il alla sortir tous ses crayons de couleurs et ses jeux de société et ses films aussi, il a hâte de le rencontrer. » Son fils était adorable avec les autres enfants, vraiment il comprenait pourquoi il voulait un petit frère et il pensait de plus en plus à adopter un autre enfant, mais il ne savait pas si ça serait un bon moment.

Il eut un petit rire en l'entendant dire qu'il ne l'imaginait pas en fermier : « Oh tu dirais peut-être pas la même chose si tu me voyais avec un chapeau style cowboy, mais c'est vrai que j'ai pas le style vestimentaire d'un fermier ! » Il eut un petit rire et vit le petit Nathaniel ouvrir les yeux, il eut un petit sourire et lui fit un petit coucou.

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I would jump in front of a train for you!

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