Hey ! Je suis un enfant de la famille De Luca-Kane. Mes parents m'ont appelé Ezio, Giuseppe mais pour faire plus simple appelle moi Ez'. Je suis né il y a 24 ans ; un certain 10 septembre 1991 à Londres. J'suis de nationalité anglaise mais j'ai des origines italiennes. En ce qui concerne mon statut civile sache que je suis célibataire et que je m'intéresse plutôt aux femmes et hommes.  Je vie à Londres depuis ma naissance. Je suis rentré à l'université Brunel pour étudier le droit dans l'école de droits. J'en suis à ma cinquième année.

et derrière l'écran ≈ pseudo/prénom : you know who i am.    ≈ âge : 25 -jemeurs- ans.    ≈ région : là-haut.    ≈  comment as-tu connu le forum ? : écrire ici.    ≈ avatar : mariano di vaio.    ≈ scénario ou personnage inventé ? : entre les deux.    ≈ autre chose ? love.

   

« bitch you got me fucked up »

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<OO>∞ <a href="http://checkitout.1fr1.net/u200">∞ </a></OO> <em>mariano di vaio </em>△ ezio g. de luca-kane

   

I'm a selfish prick. I'm a hot, rich, pampered intellectual with a big dick and a marathon tongue. I'm young enough to do it often and old enough to do it right. I don't have time for petty drama or emotional hysterics. I do what I want, when I want.

L’enfance d’Ezio s’est déroulée sans encombre et sans aucun problème.
Fils unique, né dans une famille bourgeoise, de quoi pouvait-il rêver de plus ? Le jeune enfant obtenait toujours tout ce qu’il voulait : ses parents ne lui disaient jamais non, et encore moins sa mère qui l’aimait comme la prunelle de ses yeux. Son père, un peu plus strict, lui mettait parfois des limites, et le remettait dans le droit chemin lorsque c’était nécessaire ; mais autant dire que la jeune maman réconfortait son fils en cachette, et ainsi, tous les efforts du père étaient réduits à néant. Mais comment faire autrement ? Ils l’avaient attendu cet enfant, et maintenant qu’ils l’avaient, ils ne voulaient pas mal faire les choses.
C’est ainsi qu’Ezio grandit, dans une famille unique dans laquelle il était choyé et adoré. Il était un peu comme le petit prince de la maison qui prenait bien souvent exemple sur son père. Il faut dire que Monsieur Kane en imposait rien que par sa présence, et le jeune enfant le trouvait fascinant et il aimait faire comme lui, sans que ce soit crédible pour autant… En grandissant, Ezio se pliait même plus facilement aux exigences de son père, acceptant les cours particuliers, l’apprentissage de différentes choses dont il ne voyait pas l’intérêt à l’époque, mais il voulait simplement faire plaisir à son paternel.
Ezio se montrait toujours très souriant, et les autres le trouvaient extrêmement adorable. Il était un peu la représentation du fils parfait et c’est ce qui faisait la fierté de la famille : il était exactement comme on voulait qu’il soit. Rien ne détonnait dans son comportement, c’était le digne héritier de la famille Kane, et on le félicitait après chaque repas entre amis, après chaque ‘représentation’ de ses talents. L’enfant voyait cela comme des représentations, comme s’il était dans une pièce de théâtre : tant que ses parents étaient heureux, il l’était aussi.
Du moins, l’enfant qu’il était voyait les choses ainsi. Mais ça n’allait pas durer.
Les premiers changements s’opérèrent avec l’arrivée de sa « sœur », Leilani. Cette jeune demoiselle débarquait de nulle part, et Ezio avait eu du mal à l’accepter. Qui était-elle et pourquoi venait-elle chez lui ? Il était parfaitement bien avec ses parents, alors pourquoi une famine venait-elle bouleverser tout son univers ? Ses parents avaient bien essayé de lui expliquer, mais il n’en n’avait cure : il voyait en Leilani une gêne, un obstacle à tout ces projets.
On était bien loin de l’enfant sage qui obéissait à ses parents et voulait faire plaisir à ses parents. À l’adolescence, Ezio ne pensait qu’à faire ce qu’il voulait et pour cela, il n’hésitait jamais à manipuler ses parents : il faisait bel et bien ce qu’ils souhaitaient, mais en dehors de cela, il ne se montrait plus si sage que cela. Il sortait beaucoup, et ne s’empêchait pas de faire des conneries. Évidemment, il essayait d’être discret, ne voulant pas que son père l’apprenne… Il se devait de rester le fils parfait. Un fils parfait qui n’aimait pas tant sa « sœur » et qui se montrait parfois méchant envers elle sans le moindre remord. À cette époque, il la considérait encore comme une gêne, et la plupart du temps, il l’ignorait, préférant faire comme si elle n’existait pas.
Mais tout allait changer. Encore une fois.
Leur relation évolua quelques années plus tard. L’indifférence avait laissée sa place à l’attirance, et il n’était pas rare que les deux jeunes gens partagent le même lit. Était-ce un mal ? Ezio ne le pensait pas. Il ignorait même s’ils avaient réellement un lien de sang, alors cela ne lui faisait ni chaud ni froid. Leilani lui plaisait physiquement, et il ne voyait que cela. D’autant qu’il n’était plus aussi souvent au domaine puisqu’il avait entreprit des études de droit – comme son père lui avait conseillé évidemment – et cela lui demandait pas mal de temps. Même si ça l’emmerdait souvent, il se donnait à fond, conscient qu’il n’aurait pas de seconde chance. Cela l’éloignait un peu de chez lui, et ainsi, il se sentait encore plus libre de faire tout ce qu’il veut. Également des conneries.
Après quatre années d’études à Oxford, Ezio dut mettre un terme à son cursus là-bas pour rejoindre Brunel. Les raisons ? Elles restent floues pour tout le monde. Ses amis à Oxford ne comprirent pas pourquoi il quittait cette université prestigieuse, et Ezio ne put rien dire, conscient que cela remettrait tout en cause, et que la réputation des Kane serait mise à mal. Il ne pouvait pas se le permettre. Son père a tout fait pour le protéger et le préserver, en versant une somme très importante aux personnes concernées par ce qu’il nomme « l’affaire ». Et celle-ci a été enterrée de manière définitive.
Et c’est ainsi qu’en septembre de cette année, le jeune homme entama sa cinquième année d’études à Brunel, même université où se trouve sa « sœur ». Si cela lui fait plaisir ? Pas plus que cela… Mais, ça ne lui déplait pas non plus. Tant qu’il sauve les apparences, tout va pour le mieux.