Hey ! Je suis un enfant de la famille Ladris, si on peut appeler ça une famille... Mes vieux m'ont appelé Ridley mais mes potes me surnomment Rid. Je suis née il y a 20 piges ; un certain 24 septembre à Buxton. J'suis de nationalité Anglaise mais j'ai des origines Irlandaises par ma mère, ce qui, apparemment, explique mon caractère. En ce qui concerne mon statut civil sache que je suis célibataire -pour l'instant- et que je m'intéresse carrément aux hommes. Donc, si t'es un BG au corps plein de muscles et que t'as un peu de cervelle, viens me voir bébé... Même s'il se peut que ça change. Je vie à Londres depuis 3ans. Je suis rentré à l'université Brunel pour étudier le stylisme dans l'école d'art. J'en suis à ma troisième année. J'ai choisis de rejoindre le groupe des Trela parce que je suis une rebelle qui déteste mes vieux pour m'avoir envoyé ici afin de se débarrasser de moi, alors je fais tout pour me révolter contre les règles, quelles qu'elles soient.
et derrière l'écran
≈ Pseudo/prénom : Louise la Loutre ^^ ≈ Age : 14ans ≈ Région : Bretagne ≈ Comment as-tu connu le forum ? : Une amie m'en a parlé ;) ≈ Avatar : Teresa Palmer la magnifique ** ≈ Scénario ou personnage inventé ? : Aux premières nouvelles, perso' inventé. ≈ Autre chose ? Vive Charli !
rancunière ∞ contestataire ∞ accro aux chewing-gum à la fraise ∞ impulsive ∞ jalouse ∞ passe ses soirées en boite ∞ rebelle ∞ prétentieuse ∞ fait toujours tout à la dernière minute ∞ directe ∞ vulgaire ∞ ne respecte que ceux qui le mérite ∞ séductrice ∞ capricieuse ∞ ne pense presque qu'à s'amuser ∞ obstinée ∞ intrépide ∞ n'a pas conscience du danger ∞ déterminée ∞ intelligente ∞ met tout ce qui est en son pouvoir pour arriver à ses fins ∞ spontanée ∞ loyale ∞ ne se coiffe pas souvent mais passe souvent sa main dans ses cheveux ∞ sociable ∞ généreuse ∞ a la phobie de la solitude ∞ protectrice ∞ sensible ∞ fréquente beaucoup de gens, mais n'a que de rares véritables amis ∞ insolente ∞ aimante ∞ est capable de tout pour ceux qu'elle aime vraiment ∞ passionnée ∞ fière ∞ adore rouler en moto ∞ volontaire ∞ susceptible ∞ volontaire ∞ peut en venir facilement aux mains quand son honneur est bafouée ∞ confiante ∞ juste ∞ parait superficiel aux premiers abords mais ne l'est pas vraiment ∞ impatiente ∞ moqueuse ∞ s'habille avec un style plutôt grunge ∞ exubérante ∞ attachante ∞ fume et boit de temps en temps mais n'est pas dépendante pour autant ∞ menteuse ∞ enflammée ∞ en veut énormément à ses parents mais ne peut s'empêcher, malgré sa colère, de les aimer malgré tout et espérer les rendre fiers d'elle ∞ sensible ∞ brisée
choisis ton groupe (deux choix possibles) vivlio trela aplos eirini
1. Pourquoi tu es venu ici ? a. J'adore cette université car elle m'inspire beaucoup. Je me sens à mon aise et j'ai envie d'exprimer mon talent. b. Mes parents... tu crois quoi ? Cette université me fait grave trop chier. Mais y a une bonne ambiance au moins. c. Pour montrer que je le suis le meilleur, qu'il y a les meilleurs professeurs et que j'adore étudier. d. Pour obtenir mon diplôme et avoir un travail à la fin de mes études.
2. Lorsque tu as finis les cours, qu'est-ce que tu fais ? a. Je vais respirer l'air de la nature avec ma guitare ou mon livre. b. J'organise déjà une soirée, ce soir je fais la fête encore jusqu'à pas d'heure, Yeah ! c. Je vais étudier, c'est bientôt les examens, j'aime bien être en avance sur mes cours. Puis faut que je montre que je suis le meilleur. d. Je vais faire mes devoirs et après je sors avec mes potes. Ou alors je reste tranquille sur l'ordinateur.
3. Lors de ton anniversaire, tu demandes quoi comme cadeau généralement ? a. Je n'aime pas spécialement les cadeaux, pour moi être avec ceux que j'aime me suffit amplement. b. Hum de l'argent, c'est bien ou alors je demande d'organiser une soirée à la maison avec le DJ et tout le tra la la qui va avec. c. Hum des livres évidemment, plus je me cultive mieux sait. Puis je n'ai pas trop le temps pour ces choses futiles, oui j'ai pris un an de plus et alors ? d. Hum je ne sais jamais quoi répondre à cette question, alors je dis des sous comme ça je ne me prends pas la tête à chercher.
4. Tu dois organiser un rendez-vous avec une fille/un mec, qu'est-ce que tu fais ? a. Alors là je lui sors le grand jeu avec les chandelles, de la musique et un petit poème pour montrer à quel point, elle/il est execptionnel(le). b. Hum j'ai pas trop le temps pour ça, j'irai avec mon beau sourire et puis c'est tout. Avec un bon joint pour détendre l'ambiance et hop elle/il atterrit dans mon lit. c. Hum ça me contrarie de sacrifier du temps à sortir au lieu de réviser, mais pour elle/il je vais faire un effort et lui donner quelques cours, cela peut juste l'aider à s'améliorer. d. Hum pas très compliqué, on part sur la plage, un petit pique nique, des photos et le tour est joué.
5. Oh mon dieu, tu as gagné au moins 100£ au loto, tu en fais quoi ? a. Hum j'offrirai un voyage avec mes amis et je donnerai au moins la moitié à mes proches pour leur remercier de tout leurs amours. b. Wow c'est trop de la bombe ! Je vais vite organisé la plus grosse teuf qu'il n'y aura jamais existé sur le campus ! c. Hum je m'achète le meilleur professeur de l'université pour être le meilleur, ou des livres ultra techniques ou bien du matériel sophistiqué quoi qu'il en soit, il faut bien l'utiliser. d. Genre ça va m'arriver à moi !
6. Nous sommes dans un monde envahi par les ordinateurs, les réseaux sociaux, t'en penses quoi ? a. Je n'ai pas besoin de ça pour avoir une vie sociable, je suis de nature très ouverte et je n'aime pas trop ce genre de choses. C'est toujours un moyen de communication c'est tout. b. Tss toutes les semaines je dois faire le tri de mes amis car j'en ai trop et puis ma boite mail est à craqué tellement tout le monde veut être mon ami. c. Hum c'est une encyclopédie vivante, grâce à ça certaines bibliothèques sont beaucoup plus améliorés même si cela ne remplace pas les livres. d. Les réseaux sociaux ne font pas toute ma vie mais disons que c'est important pour rester en contact un minimum.
7. Lorsque tu rêves, ton subconscient agit, donc tu rêves de... a. Oh je suis trop bien là, je suis avec ma famille, mes amis, tous ensemble. Je suis bien avec eux et je lance un petit air de guitare. b. Wow je suis au septième ciel la... ! c. Hum je suis le meilleur de ma promo sans aucune hésitation. d. Je ne m'en souviens jamais.
8. Toi on t'a dis souvent que tu ressemblais à... : a. Bob Marley b. Don Juan c. Einstein d. Moi ?
9. Si je veux rejoindre ma confrérie c'est parce que... : a. L'ambiance, les personnes sont vraiment sympas et je m'y sens bien, on est tous en osmose ensemble. b. Pour les soirées, c'est évident, on est les rois de la fête ! c. Pour être les meilleur. Nous nous comprenons et nous nous retrouvons souvent à la bibliothèque car les études c'est la vie. d. Parce que je trouve que cette confrérie est plutôt cool, je n'aime pas être catégorisé quelque part, avoir un style ou être un cliché. Je suis moi que cela plaise ou non.
Dernière question, ton disney préférée c'est ? a. Le Roi lion car Hakuna Matata, une vie sans aucun soucis. b. Hercule car je suis superman d'après Megara. c. Mulan parce que je ferais tout pour l'honneur de ma famille. d. Moi moche et méchant car les minions c'est trop la classe !
~ il est difficile d'accepter la vérité lorsque les mensonges étaient exactement ce que tu voulais entendre ~
Je me tiens debout au centre de la pièce, mastiquant mon chewing-gum avec une voracité presque effrayante, tout en me balançant d'une jambe sur l'autre. Cela fait longtemps que je n'ai pas vu mon Père. Depuis très exactement quatre ans : lorsqu'il a plaqué ma Mère pour une de ses collègues infirmière, en lui faisant du même coup deux magnifiques et adorables enfants, que je n'ai, 'malheureusement' jamais eu l'occasion de rencontrer. Franchement, que pourrai-je leur dire, à ces marmots ? "Salut, j'suis votre demi-sœur, Rid, mon vieux m'a abandonné pour vous élever avec sa nouvelle pouf de femme, d'au moins 10ans plus jeune que lui. Et ouais, ça fait très pervers, mais c'est comme ça. Bienvenue chez les Ladris !" Nan, ce serait pas mon genre. 'Fin, si, ce serait mon genre, mais pas avec des gosses dont le plus grand vient de fêter ses 3ans. Mais bon, faut admettre que ma vieille n'est pas mal non plus... Toujours en vadrouille avec son taf de journaliste politique, à fricoter avec des types plus riches les uns que les autres, et se foutant complètement de ma petite personne. Bref, voilà en quoi consiste le quotidien de ma vie de merde : à traîner dans les rues le jour, à danser en boîte la nuit, et à squatter chez des potes le reste du temps. Passionnant pas vrai ? Ah, j'allais oublier ! Mes parents ne se parlent plus qu'en s'insultant depuis quatre ans, donc si ils sont réunis dans la même pièce aujourd'hui, à se soucier enfin de moi -miracle !- c'est sûrement parce qu'ils veulent me passer un savon après que je me sois faite embarquer dans le poste de poulet de la ville, pour avoir fumé un joint ou deux chez Jerry, mon ex. Ou plutôt, l'un de mes ex. Au pire, qu'ils gueulent, j'en ai rien à battre. P'têt que, comme ça, ils comprendront que je veux juste qu'on s'occupe de moi. Mon Père se racle la gorge, l'air gêné, avant de triturer le nœud de sa cravate rouge en évitant soigneusement de croiser le regard de ma Mère autant que le mien. Le courage de Henry Ladris m'a toujours impressionné. - Euh... Je t'en prie, Ridley, assied toi. A ces mots, ma Mère lève brusquement la tête vers lui, et le fusille de ses yeux bleus, si semblables aux miens. - Depuis quand invite tu une femme à s'asseoir dans sa propre maison, Henry ? Elle même ne s'est pas gêné pour s'installer sur le grand canapé de cuir, croisant ses jambes interminables sous elle, mais il est vrai qu'elle a le mérite d'être chez elle. Au même titre que moi, si l'on peut dire les choses ainsi. Je vois mon vieux s'empourprer -de honte, de malaise ou de colère, je ne saurai le dire- mais j'interviens immédiatement, préférant désamorcer la bombe avant qu'il ne soit trop tard. Visiblement, les soucis qui me concernent passent en second plan. - Nan, ça va, j'suis bien debout. Nonchalante, j'explose une bulle de mon chewing-gum à la fraise, pour ensuite m'appuyer sur le mur blanc en nouant mes bras sur ma poitrine, dévisageant alternativement mes deux parents, impatiente. - Bon, vous crachez le morceau ou on y passe la nuit ? J'ai pas qu'ça à foutre, sauf vot' respect. Ma mère éclate d'un rire sans joie, rejetant ses longues boucles rousses en arrière. - Pas que ça à foutre ? Je vois que ton Père t'a bien éduqué jeune fille. Mais, sauf ton respect, je ne vois pas très bien ce que tu peux "foutre" d'autre... Après la drogue, l'alcool, peut être ? Me décollant du mur, je me dirige à grands pas vers le fauteuil où se tient la femme ignoble qui prétend me faire office de Mère, et lance d'une voix sifflante : - Mon Père risque pas de bien m'éduquer, parce qu'il m'a laissé pour aller peloter cette pétasse et lui faire de jolis p'tits enfants ! Remarque, lorsqu'on a une femme comme toi, ça peut se comprendre... T'étais où quand je me suis droguée en fait ? Ah oui, c'est vrai ! Tu interviewais ton homme politique ! En pleine nuit ? C'est un horaire de travail original, t'es sûre que t'as fait que lui poser des questions ? Sans même que je prenne conscience du sens de mes phrases, ma Mère se jette hors du sofa et me gifle si fort que j'en demeure sonnée un court instant. C'est cet instant précis que choisit mon Père pour s'interposer, sortant enfin de sa torpeur. - Ça suffit !!! Si nous sommes réunis là, c'est justement pour toi, Ridley, sois un peu respectueuse ! Je manque tout juste de m'étrangler d'indignation, mon chewing-gum ne m'apportant aucune aide à m'en sortir. - Du respect ? Faudrait déjà le mériter avant que... Mais regarde la ! Regarde toi ! Mes ongles rongés s'enfoncent dans mes paumes tandis que je tente vainement de me contrôler. Bon sang, est il possible d'avoir des vieux aussi cons ? - Il est grand temps que ton éducation soit prise en main. C'est pourquoi Henry et moi même avons décidé de t'inscrire dans l'université Brunel, pour les années à venir. Peut être que, là bas, tu cesseras enfin de jouer aux sauvageonnes ! Un silence de mort s'abat sur la vaste pièce richement meublé, comme si ma Mère viens d'énoncer une sentence de mort. Seule elle ne semble pas perturbée le moins du monde, d’ailleurs, se contentant de lisser son tailleur strict tout en nouant ses mèches rousses désordonnées en un chignon impeccable. Le choc de l'annonce passé, je reprends peu à peu mes esprits, et le contrôle de mon corps. - Vous... Vous avez quoi ? Ma voix n'est plus qu'un murmure, et je m'étonne de l'étrange torpeur qui me paralyse sur place, m'empêchant de bouger, de respirer normalement, de crier. Du coin de l’œil, j'aperçois mon Père ouvrir la bouche, la refermer, puis la rouvrir à nouveau : - C'est... mieux pour tout le monde, Ridley. C'est mieux pour toi. Sans que je sache pourquoi, ces quelques mots me font sortir de mes gonds, reprendre conscience comme si je sortais me tête de l'eau, pour inspirer une grande goulée d'air glacé. - Mieux pour moi ? C'est quoi ces conneries ! Vous vous êtes toujours foutus de moi ! Vous ne m'avez jamais aimé ! Mais moi je vous aime, j'ai besoin de vous, j'ai besoin que vous me prouviez que vous m'aimez, j'ai besoin de mes amis ! Ne m'abandonnez pas là bas ! Des larmes de désespoir coulent sur mes joues dorées, laissant dans leur sillage des traînées de mascara. - Papa, Maman, je vous en prie... Ne m'abandonnez pas... La mâchoire de mon Père se contracte sous l'effet de la culpabilité, mais il ne dit rien, trop content, au fond de lui, de pouvoir profiter de sa nouvelle famille sans plus se soucier des attaches du passé. En revanche, la réaction de ma Mère est tout autre : - Cesse tes enfantillages, Ridley ! Tu as besoin de devenir une femme, et non une sale peste de gamine pleurnicharde et capricieuse. Tu partiras après demain, en train pour Londres. Tout est déjà prêt. Une sale peste de gamine pleurnicharde et capricieuse ? C'est donc ainsi que ma Mère me considère ? Rageuse, j'essuie les larmes qui noient ma peau matte, ne faisant qu'étaler davantage mon maquillage. - Je jure devant tout ce qui m'est cher que vous regretterez de m'avoir envoyé là bas. Je jure devant tout ce qui m'est cher que vous aurez honte de moi autant que j'ai honte de vous. Mon Père secoue la tête d'un air exaspéré, soudain plus agacé qu’apitoyé, alors que ma Mère reprit son ricanement méprisant, sans même lever les yeux de la jupe qu'elle lissant avec application. - Tu nous fais déjà honte, Ridley. Je manque de vomir au son de ces propos si froids, si sincères. Je fais volte face et monte quatre à quatre les marches menant à ma chambre, mes pleurs m'étouffant presque tandis, que, dans ma poitrine, mon cœur aux espoirs brisés se mue doucement en glace.