Nom de famille : Scott Prénom(s) Belle âge: 21 ans date et lieu de naissance : en Afrique du Sud, un 11 mai 1995  nationalité :  Anglaise origines : Italiennes  statut civile : En couple orientation sexuelle : Hétérosexuelle arrivée à londres Il y a 4 ans cursus :   école de droit option : ... année d'étude : deuxième petit job en dehors de l'université : journaliste à ses heures perdues groupe désiré : Trela et Vivlio

▲ Jenna Coleman △ belle scott

Code:

<a href="http://checkitout.1fr1.net/u225">▲</a> <em>Jenna Coleman</em>△ belle scott

L'un de ces sourires singuliers qu'on ne rencontre que cinq ou six fois dans une vie, et qui vous rassure à jamais.


+ Un rêve doré

J’ai vu le jour il y a 21 ans, dans une des capitales d’Afrique du Sud, Pretoria. Mes parents s’y étaient rencontrés lors d’un bal, lui était un avocat montant et elle une pianiste renommée, ils m’ont souvent racontés cette soirée comme la plus belle de leurs vie. Trois ans plus tard, je rentre dans leur cocon suivi de près par mon frère. J’ai toujours vécu dans un environnement très chic et riche, petite je ne sortais pratiquement pas en dehors des résidences, mon envie de voyager provient surement de cette frustration d’enfermement dans de si beaux pays. Mes seuls compagnons de jeux étaient mon frère et quelques enfants de domestique que je devais quitter après un an de vie avec eux. Mes parents malgré l’amour qu’ils nous portaient leurs métiers nous obligeaient à nous réhabituer à un nouvel environnement tout les ans. Je crois que je peux dire que j’ai fait le tour du monde, entre Paris, Londres, Pretoria, Mexico, Hong-Kong, Tunis, … Je portais à mon frère un amour inconditionnel caché sous une fierté si chère aux yeux de mes parents, souvent ils répétaient qu’il ne faut jamais montré son vrai visage aux autres, jamais laissé transparaitre nos émotions. Petite je me plaçais devant un miroir pendant des heures pour que mon visage devienne le plus neutre possible, déjà à l’époque j’avais compris que la réussite de mon père était dut à cet état d’esprit et avec l’éducation qu’ils me donnaient je pouvait même aller plus loin. Je remercierais toujours mes parents de m’avoir élever comme cela.



+Une bride d’adolescence  et le début de Brunel


Comme il me l’avait promis lorsque j’étais plus jeune, dès mes seize ans acquit mon père commença à me faire découvrir le métier auquel je voulais céder ma vie. La première fois qu’il m’avait emmené dans son cabinet je n’avais pas dormi de la nuit et je m’étais préparée pendant des heures de manières à être irréprochable, on aurait dit que je me préparais pour l’unique et le dernier jour de ma vie. Je voulais qu’il ne soit taché d’une seule seconde de honte, avec du recul bien que mon fut atteint je me rend compte que j’en avais beaucoup fait. Mais disons que c’est ma marque de fabrique, sans ça je ne serait sans doute pas là où je suis aujourd’hui.
Cette année-là, mon père qui devait comme chaque année passait un an à Londres a été contré d’y rester une année de plus pour une affaire qui lui tenait beaucoup à coeur. C’est la première grande affaire dans laquelle j’ai pu aider mon père, ma première affaire de meurtre, j’avais d’abord l’intention, comme à mon habitude de marquer cette première fois dignement mais un incident vint rapidement bouleverser mon rituel. Le client de mon père était un jeune homme de 17 ans tout comme moi ( c’est sans doute son âge qui a touché mon père ) qui avait été accusé d’avoir tué volontairement son beau-père. Persuadé de son innocence mon père l’avait pris sous son aile et avait tout fait pour empêcher une injuste condamnation. À force de passer toutes nos journées ensemble, un lien s’était tissé entre nous, d’abord amical puis purement passionnel. Mais malgré son innocence, notre travail acharné et le talent de mon père, mon amant fut condamner à 7 ans de prison. Nous avions essayé de nous dire que la sentence était faible par rapport au crime qui lui était accusé mais son innocence était tout de même là.

Je m’étais remis lentement de cette année et d’un commun accord avec mon père, nous avions décidé de m’inscrire à Brunel, l’université réputée comme la plus grande de Londres. Ma première année fut un pur mélange de soirée, d’alcool et fête avec un travail acharné et une tenue en cours exemplaire. Malgré l’absence de celui que j’aimais, j’avais passé une des plus belles années de ma vie et j’étais plutôt confiante sur l’année à venir.