Hey ! Je suis un enfant de la famille Kings. Mes parents m'ont appelé Loan mais pour faire plus simple appelle moi Lo'. Je suis né il y a Vingt Trois ans ; un certain 18 Mars à Londres. J'suis de nationalité Anglaise mais j'ai des origines Coréenne. En ce qui concerne mon statut civile sache que je suis Célibataire et que je m'intéresse plutôt aux femmes.  Je vie à Londres depuis ma naissance. Je suis rentré à l'université Brunel pour étudier la Musique dans l'école d' art. J'en suis à ma cinquième année.

et derrière l'écran ≈ pseudo/prénom : Anna  ≈ âge : 21 Y.O  ≈ région : Champagne-Ardenne (si,si!) ≈  comment as-tu connu le forum ? : pub + zoey de courcenay    ≈ avatar : Kwon Ji Yong (GD ≈ scénario ou personnage inventé ? : scénario. ≈ autre chose ? écrire ici.

« Saoulons-nous et allons au paradis  »

infos perso & questionnaire

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<OO>∞ <a href="http://checkitout.1fr1.net/u206">∞ </a></OO> <em>kwon ji yong </em>△ kings loan

I'm a Good Boy × Il y a vingt-trois années de cela, tes parents étaient un coup londonien sans histoire. Ils vivaient leur petite vie tranquille, tu sais ce genre de vie que tu détestes, métro-boulot-dodo. Peut-être que tu trouvais ça trop monotone puisque tu es venu te poser au sein de ta mère comme un cheveu sur la soupe. Soyons franc, tu n'étais pas prévu. Tes parents venaient de lancer leur cabinet d’architecte, il n'avait pas besoin d'une grossesse pour le moment. Mais, il était déjà trop tard quand ta mère a compris ce qui ne tournait pas rond chez elle, la date limite était passé, de toute manière, elle n'aurait pas supporté l'idée de te faire disparaître. Elle l'a annoncé à ton père lorsqu'elle en fut sur, et il faut dire les choses comme elles sont, ça faisait chier ton père. Il n'était pas prêt à avoir un mioche dans les pattes, un gosse qui touche-à-tout et qui pleure tout le temps. En ce temps-là, son bébé, c'était son cabinet. Enfin, il était trop tard maintenant, puis au cours de la grossesse de ta mère, il s'était fait à l'idée qu'il allait être papa et il finit par être plutôt content de ce qu'il allait avoir. Finalement, tu es né un dix-huit avril, un peu avant la date prévu. Tu grandis au sein de cette petite famille travailleuse et surtout « plan-plan ». Tu deviens un enfant plein de vie, sage et plutôt bon à l'école, tu apprends la langue de ta mère en même temps que tu apprends celle de ton père à l'école. Tu as huit ans lorsque tu rencontres ton oncle, le petit frère de ton père, parfois ton paternel l'appelle « le déchet », pourtant, ils s'aiment énormément tous les deux. Ton oncle ne vivait pas en Angleterre, il était aux États-Unis où il dirigeait son magasin de musique. Ce jour-là, il était venu rendre visite à tes parents et à toi par la même occasion. Pour un homme qui ne t'avait jamais vu, il était bien au courant de ta vie et toi, ça te surprenait. Il était évident qu'il en sache plus sur toi que toi sur lui, tes parents l'avaient tenu au courant, lui avait parler de toi, tu étais leur petite fierté. Enfin, ton oncle voulait passer un peu de temps avec toi, mais aussi se faire pardonner le fait de ne pas avoir été là. De ce fait, il n'était pas venu les mains vides, et le cadeau qu'il allait te faire ne plaisait vraiment pas à ton père. Comme cadeau bruyant, il n'avait pas trouvé mieux, puisqu'il t'offrait une batterie. En touchant l'instrument, tu découvris ce qui allait devenir ta passion. Cela te prend quelques mois pour maîtriser l'instrument, entre-temps, les visites de ton oncle son devenu plus fréquente et il t'en apprend un peu plus sur la musique, il t'apprend à lire les partitions, il te dirige vers un autre instrument, celui qu'il joue lui-même, la guitare.

Stupid Teenager ×  Tu as à présent seize ans, la musique a prit une grande place dans ta vie à tel point que tes notes à l'école dégringolent, tu ne fais plus attention à tes cours, tu passes la plupart de ton temps à écrire ou composer tes propres chansons. Tes parents te reprennent un bon nombre de fois, ils t'expliquent que la vie ne fait pas de cadeau et que la musique ne t'apporterait pas forcement du pain sur la table. C'est le genre de discussion que vous avez en permanence, tu leur as expliqué plus d'une fois que tu ne supportais pas leur style de vie, que tu voulais être libre. Et là, tu étais bien naïf, croire que tout te tomberait tout droit dans le bec, la notoriété, l'argent et tout le reste. Même ton oncle t'avait expliquer mainte fois ne pas laisser tomber tes études pour autant, parce qu'on n'était jamais sur de ce que l'avenir pouvait réserver. Mais tu étais jeune et con, un adolescent en crise qui pense tout savoir de la vie. On dit souvent que l’adolescence est l'âge con, mais on peut dire que toi, tu atteignais des sommets. Puis comme si ton insolence n'était pas suffisante, tu avais choisi le genre d'ami qui te prennent la main pour t’entraîner vers le fond. Ils ne t'aident pas vraiment, ils te poussent plus souvent au vice qu'à la vertu. Malgré les remontrances venant de l'école, de tes parents, de ton oncle, tu ne changes rien, non, tu deviens même pire qu'avant, certes tes copains sont en partie responsables de ta déchéance, mais tu y tiens un grand rôle puisque tu te laisses entraîner dans tout ça. Alors forcement, tu ne leur laisses pas le choix. Un matin, tu revenais alors que tu avais découché, tu trouvas des valises dans l'entrée. C'était le moment pour toi de dire « au revoir » à cette maison pendant un moment. Tes parents t'avaient inscrit en pension dans l'espoir de te remettre sur ce qu'ils appellent le « droit chemin » mais également pour passer une année correcte de façon à être accepté dans une université. Finalement, leur effort n'aura pas été vain, puisque ta situation s'améliore, tu reprends les études avec un peu plus de sérieux, tes notes s'améliorent, tu ne finirais pas avec un prix Nobel de chimie, mais c'est mieux qu'avant. Tu es toujours passionné par la musique, ça ne change pas, mais tu fais plus attention aux « à-côtés »

You make mistakes, you fall down but then you get back on your feet, that's how you grow up, son ×  Après ton année d'internat, tu finis par entrer à Brunel. À vrai dire, tu ne voulais pas continuer tes études, tu voulais faire comme ton oncle, partir pour les États-Unis, te lancer dans la musique, et si ça ne marchait pas, tu pourrais toujours travailler avec lui. Mais tes parents en avaient décidé autrement et ils t'avaient inscrit à l'université. Contrairement à ce que tu pensais, ils n'avaient pas choisi une filière avec laquelle tu n'aurait aucune affinité, non, ils avaient choisi la musique. Ils avaient enfin compris que tu ne ferais rien d'autre que ça. C'est donc avec une envie un peu plus prononcé que tu avais commencé une nouvelle partie de ta vie. Tes premières années à Brunel se passent bien. Tu as difficulté, ce qui est normal vu qu'il t'arrive bien trop souvent de ne pas être attentif, ou même parfois de ne pas assister au cours, mais dans le fond, tu ne t'en sors pas trop mal. Niveau social, tu es resté le même mec grande-gueule, frivole, fêtard. Tu as fait des rencontres, certaines positive, inversement certaines t'ont valut quelques coquards et autres hématomes en tout genre. Enfin, tu sors souvent, dans des bars en boites, aux fêtes estudiantines. D'ailleurs, la fête, tu l'avais fait ce jour-là. Tu fêtais ta majorité internationale avec quelques amis à toi, vous aviez bu un peu plus que raison, et ces filles vous ont invités à vous joindre à elles. Forcement, vous aviez accepté, toi le premier, tu n'allais pas rater une occasion de ramener une fille dans ton lit. Dans le groupe, y avait cette fille, elle avait attiré ton œil et attisé ta curiosité, c'était elle, celle que tu ramènerais. Vous avez discuté ensemble pendant un moment, mais tu voulais être seul avec elle, alors tu lui proposas d'aller dehors, elle te suivit. À peine étais-tu sorti que tu la plaquas contre le mur pour l'embrasser, le truc, c'est que tu te souviens pas bien de ce qu'il se passe après, en réalité, tu te souviens de que dalle alors ton continue ta petite vie. Tu croises la demoiselle dans les couloirs une fois de temps-en-temps, mais tu n'y fait pas plus attention. De toute manière, il est rare pour toi de revoir une fille, alors tu ne prêtes pas plus attention. Plus tard, tu entends des rumeurs, elle aurait eu un enfant, mais tu ne tiquas même pas à la chose, tellement occupé par ta propre petite personne ou ta musique. Pour toi la vie continue, tes conquêtes, tes soirées à boire, ta fibre créative, tout continu sans même te préoccuper du reste. Pauvre être égocentrique que tu es.