Hey ! Je suis un enfant de la famille Suarez. Mes parents m'ont appelé Cruz, Joaquin mais pour faire plus simple appelle moi CJ. Je suis née il y a 22 ans ; un certain 19 avril 1993 à Madrid, Espagne. J'suis de nationalité espagnole mais j'ai des origines mexicaines. En ce qui concerne mon statut civile sache que je suis célibataire et que je m'intéresse plutôt aux femmes.  Je vie à Londres depuis un an. Je suis rentré à l'université Brunel pour étudier l’ informatique dans l'école des systèmes d'information et de mathématiques. J'en suis à ma troisième année.

et derrière l'écran ≈ pseudo/prénom : i think u know me.    ≈ âge : trop avancé...    ≈ région : hobbitebourg.    ≈  comment as-tu connu le forum ? : houla, pas facile cette question.    ≈ avatar : zayn malik.    ≈ scénario ou personnage inventé ? : inventé.    ≈ autre chose ? love.

   

« I am in orbit around the third planet of star known as sun. »

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<OO>∞ <a href="http://checkitout.1fr1.net/u205">∞ </a></OO> <em>Zayn Malik </em>△ Cruz J. Suarez

   

the level of football success than you can conceive and believe, you can achieve. ×

Je suis né à Madrid, en Espagne, et jusqu’il y a encore un an, j’y vivais encore et j’y étais très heureux.
Je suis le cinquième enfant de la famille Suarez, le quatrième fils. Nous sommes six au total, et autant dire que la maison n’a jamais été calme, et encore moins vide… Nous étions si nombreux qu’on se marchait parfois dessus, mais cela n’avait pas la moindre importance parce qu’on s’aimait réellement et on adorait être tous ensemble. On s’entendait tous bien, on voulait toujours tout faire ensemble parce que nos parents nous ont éduqués de la sorte. Ils voulaient qu’on soit soudés, qu’on forme une sorte de petite tribu… Quoique, je ne sais pas si « petite tribu » est le terme approprié puisque nous sommes plus que nombreux dans la famille Suarez-Mendoza. Je ne peux même pas vous dire combien nous sommes lorsqu’on se réunit tous lors des fêtes de fin d’année ou ce genre de choses… Mais je pense qu’à nous tous, on remplirait facilement un village.

Enfin, j’ai passé une enfance plutôt tranquille, toujours en compagnie de mes frères et sœurs. J’ai été le dernier pendant deux ans, avant que ma petite sœur ne vienne au monde et je passais encore plus de temps avec elle puisque c’était le bébé de la famille et qu’on devait en prendre soin. Je m’occupais réellement bien d’elle et dès qu’on sortait, je ne lâchais jamais sa main, j’avais pris cette responsabilité de grand frère très à cœur puisqu’être le petit frère de mes aînés me semblait parfois difficile. Mais c’est grâce à mes grands frères et à mon père si j’ai découvert ma passion du football. Ils jouaient toujours ensemble, et naturellement, je me suis joins à eux dès que je fus en âge de le faire et là… je suis tombé amoureux du ballon rond de manière définitive.

Je passais tout mon temps à faire du football, cela devenait presque obsessionnel. Dès que j’avais du temps, je sortais et je m’éclatais même tout seul lorsque mes voisins ou mes frères ne pouvaient pas se joindre à moi. Ou alors, je prenais ma petite sœur par la main et elle me suivait dans mes nombreux délires en riant. Mes parents ont vite compris que c’était plus qu’un jeu pour moi et que c’était ma grande passion alors naturellement, ils ont tout donné pour que je réalise mon rêve et que je fasse mes classes junior au sein du Real Madrid dès l’âge de douze ans. Je partageais mon temps entre mes cours et mes entraînements ; il n’y avait que les meilleurs espoirs dans l’équipe et je sentais bien que je devais me donner à fond si je voulais réussir dans ce milieu. Le moins bien n’était pas autorisé et pas envisageable pour moi.

J’ai ensuite commencé à faire mes premiers matchs, je ne me sentais jamais au top, sans doute parce que je suis trop perfectionniste, mais les entraîneurs trouvaient ça vraiment bien. Il n’y a que moi qui voyais des défauts un peu partout ; mais au moins, cela me pousse à toujours en faire plus. En parallèle de tout ça, je continuais évidemment mes études, me donnait aussi à fond dans ce domaine puisque je savais que je devais le faire aussi. Même si mes parents me soutenaient à fond, ils voulaient aussi que j’ai un diplôme, quelque chose « au cas où » et je comprenais bien leurs inquiétudes. Je n’avais pas envie qu’ils s’en fassent de trop pour moi alors j’ai réussi à combiner les deux. Certes, cela me donnait moins de temps pour les potes, les copines et les soirées, mais les sacrifices ne m’ont jamais dérangé.

Et finalement, j’ai eu raison d’y croire et de faire tout ces sacrifices puisque l’année dernière, j’ai été repéré par Chelsea. Je n’y croyais pas franchement lorsque les entraîneurs me l’ont dit, mais ils étaient venus voir les juniors faire leurs matchs et apparemment, je leur avais tapé dans l’œil et ils me voulaient en Angleterre. Je ne vais pas mentir : j’étais très heureux, mais ça n’a pas été une décision facile à prendre. Dire oui, ça voulait dire mettre de la distance avec ma famille, quitter mes parents, mes frères et sœurs, mes neveux et nièces, toute cette tribu qui me permettait de ne pas perdre pied, de garder les pieds sur terre. Et puis, cela voulait dire quitter Madrid, l’Espagne, mon chez moi… Mais c’était une occasion en or, impossible de la manquer et après de longues discussions avec mes proches, j’ai accepté.

Alors voilà comment je me suis retrouvé ici, à Londres, étudiant à Brunel et joueur de Chelsea depuis une petite année. Je n’apparais pas encore à tous les matchs, mais je suis déjà bien heureux de ce que j’ai et des portes que cela m’ouvre. J’ambitionne toujours d’être l’un des meilleurs et je compte bien y parvenir.