Camilla & Gabriel

i swear my intentions aren't as evil as you think, but temptation is always pushing people to the brink.

Pas d’excès ce soir, pensa Gabriel en sortant de la douche. Depuis le début des vacances, il avait déjà fait pas mal de conneries et son corps commençait à lui mettre un stop assez violent. Il ne supportait plus toutes ces bêtises et arrivait au bout de ses capacités en ce qui concernait l’alcool et la drogue. Pourtant, le jeune polonais avait bien conscience de faire n’importe quoi, mais il s’en fichait tellement qu’il ne respectait pas franchement les signaux envoyés par son corps. Tous les soirs il se faisait cette promesse et au final, il n’était pas fichu de se mettre des limites. Il buvait toujours autant et prenait le plus de merde possible. Gabriel, sans même en prendre conscience, était en train de se suicider à petit feu, et il n’en n’avait rien à foutre. Rien ne l’effrayait, pas même l’idée de perdre la vie à même vingt-cinq ans. Ce mec ne possédait aucun bon sens à ce niveau là.

Mais pour tenir bon, il abandonna l’idée de se rendre en boite de nuit et opta pour une soirée tranquille au bord de la plage. Cela ne lui ferait pas de mal et l’air frais lui remettrait peut-être les idées en place ; mais il ne fallait pas trop espérer. Il retourna dans sa chambre et une fois sec, enfila un boxer ainsi qu’un jeans, une chemise blanche et une paire de baskets. Il attrapa aussi une casquette qu’il glissa sur sa tête et sortit de sa chambre sans perdre une seconde. La plage n’était pas très loin, il n’aurait pas beaucoup de chemin à faire et c’était tant mieux. Il n’avait en sa possession qu’une bouteille de whisky (ce qui n’était pas un excès pour lui), et un pétard dissimulé dans sa poche. De quoi faire une bonne soirée sans se mettre minable.

Quelques minutes plus tard Gabriel arriva sur la plage. Il n’y avait pas grand monde ; les gens préféraient les boites de nuit ou les bars, ce qui était compréhensible. Mais lui avait besoin de ce moment de calme. Alors il s’avança de quelques pas pour trouver le coin parfait jusqu’à ce que son regard ne tombe sur une silhouette qui lui semblait familière. Il plissa les yeux et s’approcha encore un petit peu jusqu’à reconnaître Camilla. La fameuse Camilla qui avait fêtée son anniversaire durant lequel Gabriel s’était retrouvé dans une bagarre à cause d’Oliver. Ça avait été une putain de soirée bien étrange.

Le jeune homme n’était pas très bavard ni amical, et pourtant, il s’installa à côté de la demoiselle sans demander s’il pouvait le faire. Il était sans gêne et le resterait jusqu’à sa mort. Elle ne lui semblait pas dans son assiette, mais Gabe n’avait aucun don avec les gens, il ne savait pas remonter le moral… Lui, il avait une toute autre solution. « Un peu de whisky ? T’as pas l’air en forme. » Glissa-t-il en ouvrant sa précieuse bouteille de Jack Daniel’s. Il ne partageait pas avec n’importe qui, elle avait de la chance la petite.

Épuisée, je l'étais depuis toujours. Chaque geste, chaque paroles étaient controlés par une de mes personnalités. En réalité, je ne sais même pas qui je suis vraiment. Qu'est ce que je fais dans ce monde si glacial? Pourquoi les gens sont aussi... Étrange?

Habillée simplement cette fois, je me dirige vers la plage pour réfléchir. Assise sur le sable, je ramène mes genous contre ma poitrine et regarde le ciel bleu et cette mer turquoise. Pourquoi m'étais-je lancée dans ce voyage si je savais très bien que je resterais seule?

Alors que je suis sur le point de fondre en larmes, je vois Gabriel s'avancer vers moi. Lui qui m'a raccompagner un peu par la force, alors que j'étais complétement...ivre? Étais-je ivre ou simplement déprimée? Celui-ci me propose un peu de sa bouteille de Jack Daniel's. Serais-ce raisonnable vu mon état? La patrone dit oui. La geek et la panda non. Tout est étrange dans ma tête à ce moment là, tandis que je vois ce si beau jeune homme me sourire pour la première fois. Je connais sa réputation, mais il est bien mignon comme le disent toutes les filles.

Je m'empare de la bouteille en bredouillant un remerciement et en bois deux gorgées. J'aime cette sensation de brulure dans ma gorge. C'est quelque chose de relaxant et de ravitaillant. J'esquisse un sourire en lui rendant la bouteille et m'apprète à me voir encore seule.

Mais non. Il s'assoit et regarde le paysage comme je le faisais auparavent. Pourquoi reste-t-il à mes cotés? Je ne suis pas aussi canon que les autres filles du campus et je ne suis qu'en deuxième année. Je suis une fille normal avec juste son secret bien caché.

- Alors... Tu trouves comme Punta?

C'est la seule phrase à peu prêt correct que j'arrive à articuler. Je me sens seule et la patronne le trouve terriblement à son gout, comparé aux autres gars que nous avons croisés à la boite de nuit les derniers soirs. J'ai juste envie de rougir quand il me repond et qu'il me demande si je vais bien, car il m'a vue mal à la fête d'arrivée.

- Mh.. Moui, ça peut aller... Enfin... Ouais.

Je bredouille. Je ne peux pas lui parler de ma maladie. Personne n'est au courant au campus, à part peut être Sarah et une ou deux personnes à qui j'accorde vraiment ma confiance. Lui me fait peur, mais en même temps m'attire. C'est le genre de bad boy, beau gosse que la patronne mangerait pour son quatre heures. Je caresse alors ma guitare que j'avais prise au cas où et la pose sur mes genous. Il me regarde, mais je n'en fais rien. Grattant quelques cordes, une mélodie famillière sort de la caisse de résonnance. C'est la chanson que j'ai composé suite à la soirée désastreuse que j'avais passé pour mon anniversaire. Lui continue de regarder le paysage, mais je remarque qu'il se mord la lèvre.

Quoi? Ma chanson lui donnerait des êmotions?

Camilla & Gabriel

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Elle prit la bouteille et en but quelques gorgées, ce qui fit sourire Gabriel. Il reprit sa bouteille et s’installa aux côtés de la jeune femme. Il n’avait rien d’autre à faire et autant qu’il soit auprès de quelqu’un. Bon, il n’était sans doute pas le mec le plus sympathique, mais la gonzesse lui semblait en pleine déprime : il manquerait plus qu’elle ne se noie ou une connerie du genre. Ça lui foutrait un coup de se dire qu’il aurait pu faire quelque chose, mais qu’il avait préféré se la jouer grand loup solitaire. Enfin, il n’avait pas l’intention non plus de parler, de déballer sa vie ou se la jouer psychologue, c’était pas son délire. Mais il pouvait au moins rester là, et boire sa bouteille de Jack Daniel’s le plus tranquillement du monde.

« C’est sympa. » Répondit-il simplement. Ouais, il n’était pas le genre à faire de longues phrases pour décrire la beauté des lieux, se perdre dans des poèmes pour dire à quel point il trouve le coin merveilleux. Il connaissait l’art d’apprécier en silence, sans avoir besoin de faire l’éloge d’absolument tout. Il trouvait cela stupide. Tout le monde savait que ces plages paradisiaques étaient magnifiques et n’avaient pas besoin de l’entendre de la bouche des autres. Et puis, Gabriel n’était pas de ceux qui parlaient le plus. « Ça va toi ? » Demanda-t-il finalement.

Parce que ouais, elle n’avait clairement pas l’air dans son assiette. Elle lui répondit, mais Gabriel n’était clairement pas convaincu parce qu’elle racontait. La Camilla semblait vraiment en pleine déprime. Lui, il ne connaissait pas tellement ça puisque ça ne lui était pas arrivé depuis longtemps. La dernière fois, c’était à la mort de sa grand-mère, et ça remontait à presque dix ans. Qu’est-ce qui clochait chez cette demoiselle ? Il n’en savait franchement rien. Elle lui paraissait juste bizarre.

Il la vit ensuite prendre une guitare. Il ne l’avait pas vu en arrivant, mais c’était une bonne surprise. Gabriel appréciait les gens qui savaient jouer d’un instrument, et lui-même amoureux de la musique et de la guitare, il adorait entendre des morceaux comme ça. Elle se mit à chanter et le jeune polonais se concentra sur les mouvements de l’eau. Il écoutait la jeune femme en même temps, mais la mélodie passait toujours avant le reste. Il pouvait écouter des morceaux sans que personne ne chante dessus, ça lui convenait tout autant. Mais elle chantait bien, il fallait l’admettre.

Le jeune homme se mordit machinalement la lèvre inférieure en contemplant toujours l’horizon. Ce moment de calme lui faisait grand bien. Il sortir quand même son joint de sa poche et l’alluma après quelques instants de réflexion. Lorsqu’elle s’arrêta de jouer, il lui tendit presque naturellement. « Tu joues bien. » Déclara-t-il dans un souffle, expirant lentement la fumée. « T’as appris y a longtemps ? » Demanda-t-il. Elle avait piqué sa curiosité.

Un joint. Un p*** de joint. Ça faisait des années que je n'avais pas fumer, même une cigarette. Je le prends tout de même et aspire la fumée comme si c'était normal. Quand je recrache doucement la fumée, un bien m'envahit tout de même, La question du jeune homme m'avait impréssionée. Alors même un gars comme lui, s'interesse à cette passion qu'est la musique? Et puis pourquoi pas? Après tout, je ne savais rien de lui.

- Ouais, enfin je crois. J'ai toujours eu une guitare dans la main et c'est venu tout seul. En même temps, j'avais pas trop le choix...

Je le vois hausser un sourcil fasse à ma réponse. Et merde... J'en avais dévoilé un peu trop. Si ça se trouve, il va tout raconter à tout le campus et je vais finir vraiment seule. À vrai dire, je n'aime pas du tout parler de mon passé. Ça me fait frissoner rien que d'y penser. Mais face à sa question, je réponds juste cette phrase.

- J'ai juste eu un passé douleureux et la musique était mon seul échapatoire.

Il m'adresse un sourire compatissant avant de me repasser le joint que je fumais à nouveau. Mon dieu, cette sensation est tellement... Agréable. Mon moral remonte un peu, tandis que je pose ma main sur le sable. La patronne voulait que je la mette sur la sienne, mais il en était hors de question. Je ne veux pas avoir les jambes en l'air, ce soir. Je me bats intérieurement, tandis que je regarde à nouveau l'horizon. Gabe continue de boire et de fumer, lorsque je sens sa main sur la mienne.

Ok. Alors soit c'est juste pour me remonter le moral, soit il veut me mettre dans son lit ce soir. Je ne bouge pas ma main et le laisse faire ce qu'il veut. Passant une main dans mes cheveux pour les remettre en arrière, je sens que sa main se pose sur mon épaule et je sens un baiser se pose sur celle-ci. Je me recule un tout petit peu pour qu'il ne monte pas au-delà.

Si je le laisse faire, la patronne prendra controle de mon corps et j'ai pas vraiment envie de me retrouver déchirée dans le lit d'un gars qze je connais que de réputation. Je me lève alors et me dirige vers l'eau.

- Tu viens te baigner?

Ma voix est plus douce que d'habitude, normal ce n'est pas la mienne. Ni une, ni deux, je me retrouve en maillot de bain noir dans l'eau turquoise. L'eau me fait le plus grand bien et j'y reste un moment en nageant doucement.

Camilla & Gabriel

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Elle n’avait pas eu le choix ? Le brun arqua un sourcil à cette phrase, parce qu’il devinait un passé douloureux derrière cette phrase. Ouais, on pouvait facilement croire qu’il n’en n’avait rien à foutre du reste du monde, mais il savait être attentif lorsqu’il le voulait. Il remarquait facilement les gestes et comportements qui traduisaient de quelques douleurs passées ou présentes. Gabriel comprenait bien cela. Mais il n’en faisait pas toute une histoire parce qu’il n’aimait pas qu’on lui raconte ses problèmes, il n’aimait pas faire le mec qui donne des conseils qu’il ne pense pas.

La demoiselle lui confirma qu’elle avait eu un passé douloureux et il eut un petit sourire… compatissant ? Sans doute. Lui-même ne savait pas trop comment on devait sourire de manière compatissante. Ça n’existait sans doute pas dans son monde, ou du moins, pas envers tout le monde. Ils étaient rares à connaître ses bons côtés, et dans le fond, il n’y avait qu’Emma qui l’avait vu sous ses meilleurs jours parce qu’il lui réservait toujours sa sincérité. Elle était la seule à le connaître vraiment. « Ouais, j’connais ça. » Finit-il par dire avant de reprendre le joint qu’il fuma tranquillement.

Il reprit également sa bouteille et but plusieurs gorgées. Il ne savait pas trop comment être parce qu’il n’était pas un confident ou quelque chose dans ce genre. Il n’était qu’un type qui se comportait qu’en suivant ses instincts de mâle : et la chasse en faisait partie. Il était toujours en quête d’une conquête et Camilla lui semblait pas mal. À son goût. Et puis, le sexe changeait les idées, non ?

Gabriel posa alors sa main sur la sienne et la remonta un petit peu, lentement, jusqu’à atteindre son épaule. Il se pencha un petit peu et déposa ses lèvres contre celle-ci, mais la jolie brune se recula peu après. Pourtant, il ne l’avait pas senti réticente. Étrange cette fille, pensa le jeune homme en la regardant. Elle voulait maintenant se baigner. « Nope, j’t’attends là. » Glissa-t-il simplement. Il n’avait pas la moindre envie de se mettre à l’eau.

Il la regarda quelques secondes, avant de prendre la guitare qui était restée sur le sable. Il n’avait pas prit la sienne. Il aurait dû. Sa guitare lui manquait et faire de la musique lui manquait tout autant. Il balança la fin de son joint un peu plus loin sur le sable et commença à jouer l’air d’Hallelujah, version de Jeff Buckley. Un classique. Cette musique faisait partie de ses favorites depuis qu’il l’avait entendue. Il se mit à chanter en même temps, sans même s’en rendre compte. Gabriel ne chantait pas très souvent, il préférait jouer, mais il n’avait pas une mauvaise voix. Au contraire, il se débrouillait même plus que bien lorsqu’il le voulait vraiment.

Je sors de l'eau quelques minutes plus tard en l'entendant chanter. Mon dieu, cette voix était tout simplement... merveilleuse. En maillot, je m'approche de lui et l'écoute attentivement. Un sourire parcourt mon visage, lorsque je reconnais la chanson. Nos voix se mêlent et je me sens enfin bien. La musique est le meilleur remontant, je trouve. Soudain nos regards se croisent et je détourne la tête en rougissant légèrement. Non, je ne dois pas écouter ce coeur qui commence à battre.

Je ne peux pas tomber amoureuse d'un gars pareil! Alors je me relève pour me rhabiller. Je te vois me regarder de haut en bas. J'ai la tête qui tourne un peu, mais ça ira. Nos regards se recroisent à nouveau quand je me rasseye. " Laisse moi prendre le controle, je t'en supplie, cam!" " J'ai besoin de sexe maintenant!"

Je m'allonge sur le sable en soupirant.

- J'ai l'impression de ne servir à rien. Vraiment.

La technique de la patronne. Merde. Je le vois se rapprocher et là, tout s'intensifie. Ses lèvres touchent les miennes et la patrone l'embrasse avec fougue. Nos langues se mêlent.

P: On est tout les deux en manque à ce que je vois.

Je continue enfin elle. Je mords doucement sa lèvre, tandis que ses mains parcourent mon corps fin. Je sens des sensations de plaisir m'envahir. Mon dieu, c'est tellement... bon.

Camilla & Gabriel

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Gabriel préférait la musique à l’eau turquoise. Il préférait la mélodie d’une guitare au bruit des vagues. La musique le rendait toujours heureux. La musique lui permettait d’être mieux dans sa peau, et il ne s’en privait jamais. Depuis qu’il savait jouer de la guitare, il ne s’était jamais arrêté parce que ça lui permettait d’être dans un autre monde durant quelques instants, et cette manière de voyager était tout simplement magique. Peu de personne avait cette capacité de voyager rien qu’en fermant les yeux et en écoutant une mélodie qu’ils appréciaient. Lui savait le faire.

La voix de Camilla se mêla à la sienne et il posa son regard sur elle durant quelques secondes, avant qu’elle ne détourne le regard. Il ne comprenait pas pourquoi, mais cela n’avait pas la moindre importance. Le brun ne se posait jamais trop de questions. Les états d’âme des autres lui passaient un peu au dessus de la tête. Il essayait parfois. Il apprenait à connaître les autres, mais ça n’allait généralement pas plus loin. Il lui fallait un feeling en plus, une petite étincelle que lui seul décèlerait.

Il posa la guitare à ses côtés alors que la demoiselle s’allongea de l’autre. C’était sans doute le moment qu’il attendait. Le moment qu’il souhaitait depuis un moment. Gabriel n’avait prit aucune drogue, avait à peine bu et était encore en possession de toute sa tête et il avait envie de sexe. Il en crevait d’envie parce que ça faisait aussi parti de ses addictions. Il se rapprocha alors de la jeune femme, se pencha au dessus d’elle et finalement, leurs lèvres entrèrent en contact.

Il ne savait pas ce qu’elle allait faire, mais finalement, Camilla lui rendit son baiser et l’intensifia un petit peu. Le brun vint se mettre au dessus d’elle, et ses mains glissèrent contre sa peau, parcourant son corps frêle. Elle mordit la lèvre de Gabriel, et cela le fit doucement sourire. Il appréciait les bonnes initiatives du genre. Il dévia ensuite ses baisers dans le creux de son cou, puis sur la peau de sa gorge qu’il embrassa à plusieurs reprises tandis que ses mains continuaient leur découverte du corps de la demoiselle. Elle lui semblait fort bien appétissante et il ne regrettait pas son choix de s’être arrêté à ses côtés. « Tu veux qu’on aille ailleurs ? » Demanda-t-il, plus pour la forme qu’autre chose. Lui, ça ne le dérangeait pas de faire des cochonneries sur une place, ça lui était déjà arrivé, mais la demoiselle était peut-être plus pudique ou prudente que lui.

Ok. On y est. J'ai pris le controle et l'autre ne me détient plus. La patronne, c'est moi dorénavant et j'ai envie de sexe.

- Non, restons ici. J'ai toujours rêvé de le faire sur la plage avec un beau garçon.

Je le vois sourire, tandis que la vraie Camilla va en nous avec les autres.
Je suis la partie la plus noire. La plus cochonne. La putain si vous voulez. Et j'aime le sexe plus qu'autre chose.

( HOT)
Je descends mes mains sur son entre jambe tout en l'embrassant à nouveau. Mais, c'est qu'il bande déjà le coquin. Je caresse doucement cet endroit comme j'en ai l'habitude. J'en frétille déjà d'avance. Heureusement qu'elle a mis une jupe la créatrice, sinon ça serait trop énervant à enlever. J'écarte doucement les jambes lorsque je le sens qui caresse ma poitrine. Ouais, ça fait environ 2 semaines qu'on a pas eu un mec ou une fille dans notre lit, donc au bout d'un moment, c'est long. Je le sens durcir contre ma main. Youpi, on va bien s'amuser.
Je sens le sable contre ma peau ce qui m'excite encore plus. Reste au fond Camilla, je ne veux pas que cela te gêne. Tu es vierge, mais moi non. Je l'ai deja fait plusieurs fois. Enfin, depuis que je suis apparue dans ton esprit. Dort en attendant, je vais faire du bien à ton ami.